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from Barbara - Lily passion (2017) | |||||
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from Barbara - Femme Piano (2004)
Chaque fois qu'on parle d'amour,
C'est avec "jamais" et "toujours", "Viens, viens, je te fais le serment Qu'avant toi, y avait pas d'avant, Y avait pas d'ombre et pas de soleil. Le jour, la nuit c'etait pareil. Y avait pas au, creux de mes reins, Douce, la chaleur de tes mains.", A chaque fois, a chaque fois, Chaque fois qu'on parle d'amour. Chaque fois qu'on aime d'amour, C'est avec "jamais" et "toujours". On refait le meme chemin En ne se souvenant de rien Et l'on recommence, soumise, Florence et Naples, Naples et Venise. On se le dit, et on y croit, Que c'est pour la premiere fois, A chaque fois, a chaque fois, Chaque fois qu'on aime d'amour. Ah, pouvoir encore et toujours S'aimer et mentir d'amour Et, bien qu'on connaisse l'histoire, Pouvoir s'emerveiller d'y croire Et se refaire, pour pas une thune, Des clairs d'amour au clair de lune Et rester la, c'est merveilleux, A se rire du fond des yeux. Ah, pouvoir encore et toujours S'aimer et mentir d'amour. Ah redis-le, redis-le moi, Que je suis ta premiere fois. Viens, et fais-moi le serment Qu'avant moi, y avait pas d'avant, Y avait pas d'ombre et pas de soleil. Le jour, la nuit, c'etait pareil. Y avait pas, au creux de tes reins, Douce, la chaleur de mes mains. Ah redis-le, redis-le moi, Que je suis ta premiere fois. Ah, redis-le moi, je te crois. Je t'aime, c'est la premiere fois, Comme a chaque fois, Comme a chaque fois, Comme a chaque fois... |
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from Barbara - Les 50 Plus Belles Chansons (2008)
Chaque fois qu'on parle d'amour,
C'est avec "jamais" et "toujours", "Viens, viens, je te fais le serment Qu'avant toi, y avait pas d'avant, Y avait pas d'ombre et pas de soleil. Le jour, la nuit c'etait pareil. Y avait pas au, creux de mes reins, Douce, la chaleur de tes mains.", A chaque fois, a chaque fois, Chaque fois qu'on parle d'amour. Chaque fois qu'on aime d'amour, C'est avec "jamais" et "toujours". On refait le meme chemin En ne se souvenant de rien Et l'on recommence, soumise, Florence et Naples, Naples et Venise. On se le dit, et on y croit, Que c'est pour la premiere fois, A chaque fois, a chaque fois, Chaque fois qu'on aime d'amour. Ah, pouvoir encore et toujours S'aimer et mentir d'amour Et, bien qu'on connaisse l'histoire, Pouvoir s'emerveiller d'y croire Et se refaire, pour pas une thune, Des clairs d'amour au clair de lune Et rester la, c'est merveilleux, A se rire du fond des yeux. Ah, pouvoir encore et toujours S'aimer et mentir d'amour. Ah redis-le, redis-le moi, Que je suis ta premiere fois. Viens, et fais-moi le serment Qu'avant moi, y avait pas d'avant, Y avait pas d'ombre et pas de soleil. Le jour, la nuit, c'etait pareil. Y avait pas, au creux de tes reins, Douce, la chaleur de mes mains. Ah redis-le, redis-le moi, Que je suis ta premiere fois. Ah, redis-le moi, je te crois. Je t'aime, c'est la premiere fois, Comme a chaque fois, Comme a chaque fois, Comme a chaque fois... |
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from Barbara - Voyageuse (2003)
Chaque fois qu'on parle d'amour,
C'est avec "jamais" et "toujours", "Viens, viens, je te fais le serment Qu'avant toi, y avait pas d'avant, Y avait pas d'ombre et pas de soleil. Le jour, la nuit c'etait pareil. Y avait pas au, creux de mes reins, Douce, la chaleur de tes mains.", A chaque fois, a chaque fois, Chaque fois qu'on parle d'amour. Chaque fois qu'on aime d'amour, C'est avec "jamais" et "toujours". On refait le meme chemin En ne se souvenant de rien Et l'on recommence, soumise, Florence et Naples, Naples et Venise. On se le dit, et on y croit, Que c'est pour la premiere fois, A chaque fois, a chaque fois, Chaque fois qu'on aime d'amour. Ah, pouvoir encore et toujours S'aimer et mentir d'amour Et, bien qu'on connaisse l'histoire, Pouvoir s'emerveiller d'y croire Et se refaire, pour pas une thune, Des clairs d'amour au clair de lune Et rester la, c'est merveilleux, A se rire du fond des yeux. Ah, pouvoir encore et toujours S'aimer et mentir d'amour. Ah redis-le, redis-le moi, Que je suis ta premiere fois. Viens, et fais-moi le serment Qu'avant moi, y avait pas d'avant, Y avait pas d'ombre et pas de soleil. Le jour, la nuit, c'etait pareil. Y avait pas, au creux de tes reins, Douce, la chaleur de mes mains. Ah redis-le, redis-le moi, Que je suis ta premiere fois. Ah, redis-le moi, je te crois. Je t'aime, c'est la premiere fois, Comme a chaque fois, Comme a chaque fois, Comme a chaque fois... |
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from Barbara - Chante Barbara (2001) | |||||
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from Barbara - Voyageuse (2003) | |||||
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2:44 | ||||
from Barbara - Olympia 1978 (2004) | |||||
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from Barbara - Barbara Theatre Des Variets 1974 (2007) | |||||
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from Barbara - Les 50 Plus Belles Chansons (2008) | |||||
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from Barbara - Chanson Francaise (2015) | |||||
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from Barbara - Voyageuse (2003)
A peine le jour s'est leve,
A peine la nuit va s'achever Que deja, ta main s'est glissee, Legere, legere. A peine sorti du sommeil, A peine, a peine tu t'eveilles Que deja, tu cherches ma main Que deja, tu froles mes reins. L'aube blafarde, par la fenetre, L'aube blafarde, va disparaitre. C'est beau : regarde par la fenetre. C'est beau : regarde le jour paraitre. A chaque jour recommence, A se vouloir, a se garder, A se perdre, a se dechirer, A se battre, a se crucifier. Passent les vents et les marees. Mille fois perdus, dechires, Mille fois perdus, retrouves, Nous restons la, emerveilles. Mon indocile, mon difficile Et puis docile, mon si fragile, Tu es la vague ou je me noie, Tu es ma force, tu es ma loi. A peine le temps s'est pose, Printemps, hiver, automne, ete. Tu t'en souviens ? C'etait hier, Printemps, ete, automne, hiver. A peine tu m'avais entrevue, Deja, tu m'avais reconnue. A peine je t'avais souri Que deja, tu m'avais choisie. Ton indocile, ta difficile Et puis docile, ta si fragile, Je suis la vague ou tu te noies, Je suis ta force, je suis ta loi. Dans la chambre, s'est glissee l'ombre. Je t'apercois dans la penombre. Tu me regardes, tu me guettes. Tu n'ecoutais pas, je m'arrete. Au loin, une porte qui claque. Il pleut, j'aime le bruit des flaques. Ailleurs, le monde vit, ailleurs Et nous, nous vivons la, mon c?ur Et je m'enroule au creux de toi Et tu t'enroules au creux de moi. Le temps passe vite a s'aimer. A peine l'avons-nous vu passer Que deja, la nuit s'est glissee, Legere, si legere. Ta bouche a mon cou, tu me mords. Il fait nuit noire au dehors. Ta bouche a mon cou, je m'endors. Dans le sommeil, je t'aime encore. A peine je suis endormie Que deja, tu t'endors aussi. Ton corps, a mon corps, se fait lourd. Bonsoir, bonne nuit, mon amour... |
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3:25 | ||||
from Barbara - Olympia 1978 (2004)
A peine le jour s'est leve,
A peine la nuit va s'achever Que deja, ta main s'est glissee, Legere, legere. A peine sorti du sommeil, A peine, a peine tu t'eveilles Que deja, tu cherches ma main Que deja, tu froles mes reins. L'aube blafarde, par la fenetre, L'aube blafarde, va disparaitre. C'est beau : regarde par la fenetre. C'est beau : regarde le jour paraitre. A chaque jour recommence, A se vouloir, a se garder, A se perdre, a se dechirer, A se battre, a se crucifier. Passent les vents et les marees. Mille fois perdus, dechires, Mille fois perdus, retrouves, Nous restons la, emerveilles. Mon indocile, mon difficile Et puis docile, mon si fragile, Tu es la vague ou je me noie, Tu es ma force, tu es ma loi. A peine le temps s'est pose, Printemps, hiver, automne, ete. Tu t'en souviens ? C'etait hier, Printemps, ete, automne, hiver. A peine tu m'avais entrevue, Deja, tu m'avais reconnue. A peine je t'avais souri Que deja, tu m'avais choisie. Ton indocile, ta difficile Et puis docile, ta si fragile, Je suis la vague ou tu te noies, Je suis ta force, je suis ta loi. Dans la chambre, s'est glissee l'ombre. Je t'apercois dans la penombre. Tu me regardes, tu me guettes. Tu n'ecoutais pas, je m'arrete. Au loin, une porte qui claque. Il pleut, j'aime le bruit des flaques. Ailleurs, le monde vit, ailleurs Et nous, nous vivons la, mon c?ur Et je m'enroule au creux de toi Et tu t'enroules au creux de moi. Le temps passe vite a s'aimer. A peine l'avons-nous vu passer Que deja, la nuit s'est glissee, Legere, si legere. Ta bouche a mon cou, tu me mords. Il fait nuit noire au dehors. Ta bouche a mon cou, je m'endors. Dans le sommeil, je t'aime encore. A peine je suis endormie Que deja, tu t'endors aussi. Ton corps, a mon corps, se fait lourd. Bonsoir, bonne nuit, mon amour... |
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4:43 | ||||
from Barbara - L'Aigle Noir (2004)
A peine le jour s'est leve,
A peine la nuit va s'achever Que deja, ta main s'est glissee, Legere, legere. A peine sorti du sommeil, A peine, a peine tu t'eveilles Que deja, tu cherches ma main Que deja, tu froles mes reins. L'aube blafarde, par la fenetre, L'aube blafarde, va disparaitre. C'est beau : regarde par la fenetre. C'est beau : regarde le jour paraitre. A chaque jour recommence, A se vouloir, a se garder, A se perdre, a se dechirer, A se battre, a se crucifier. Passent les vents et les marees. Mille fois perdus, dechires, Mille fois perdus, retrouves, Nous restons la, emerveilles. Mon indocile, mon difficile Et puis docile, mon si fragile, Tu es la vague ou je me noie, Tu es ma force, tu es ma loi. A peine le temps s'est pose, Printemps, hiver, automne, ete. Tu t'en souviens ? C'etait hier, Printemps, ete, automne, hiver. A peine tu m'avais entrevue, Deja, tu m'avais reconnue. A peine je t'avais souri Que deja, tu m'avais choisie. Ton indocile, ta difficile Et puis docile, ta si fragile, Je suis la vague ou tu te noies, Je suis ta force, je suis ta loi. Dans la chambre, s'est glissee l'ombre. Je t'apercois dans la penombre. Tu me regardes, tu me guettes. Tu n'ecoutais pas, je m'arrete. Au loin, une porte qui claque. Il pleut, j'aime le bruit des flaques. Ailleurs, le monde vit, ailleurs Et nous, nous vivons la, mon c?ur Et je m'enroule au creux de toi Et tu t'enroules au creux de moi. Le temps passe vite a s'aimer. A peine l'avons-nous vu passer Que deja, la nuit s'est glissee, Legere, si legere. Ta bouche a mon cou, tu me mords. Il fait nuit noire au dehors. Ta bouche a mon cou, je m'endors. Dans le sommeil, je t'aime encore. A peine je suis endormie Que deja, tu t'endors aussi. Ton corps, a mon corps, se fait lourd. Bonsoir, bonne nuit, mon amour... |
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from Barbara - Barbara Theatre Des Variets 1974 (2007) | |||||
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from Barbara - Lumieres sur Barbara, Vol. 2 (2017) | |||||
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from Barbara - Amours Incestueuses [ep] (2007) | |||||
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from Barbara - Ispod grudi srce bije (1993) | |||||
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from Barbara - Ispod grudi srce bije (1993) | |||||
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3:46 | ||||
from Barbara - Donna Di Cuori (2009) | |||||
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from Barbara - La Voce Del Mio Cuore (2009) | |||||
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from Barbara - L'Aigle Noir (2004)
Pour toi soudain le gris du ciel n'est plus si gris,
pour toi soudain le poids des jours n'est plus si lourd. Voila que sans savoir pourquoi soudain tu ris, voila que sans savoir pourquoi soudain tu vis, car te voila, oui te voila amoureuse {3x}, tellement amoureuse. C'est vrai, alors le gris du ciel n'est plus si gris, c'est vrai, alors le poids des jours n'est plus si lourd. C'est vrai, alors soudain tu sais pourquoi tu ris, c'est vrai, alors soudain tu sais pourquoi tu vis, car il est la, oui il est la. Amoureuse {3x}, tellement amoureuse. Et puis, soudain, le gris du ciel redevient gris, et puis soudain le poids des jours redevient lourd. Tout est fini, tout est fini, l'amour se meurt: il est parti, il est parti et toi, tu pleures, et c'est fini, oui, c'est fini. Malheureuse {3x}. Malheureuse {3x}, tellement malheuresue |
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from Barbara - Chanson Francaise (2015) | |||||
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from Barbara - Amours Incestueuses [ep] (2007) | |||||
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from Barbara - Barbara Theatre Des Variets 1974 (2007) | |||||
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from Barbara - Femme Piano (2004)
Attendez que ma joie revienne
Et que se meure le souvenir De cet amour de tant de peine Qui n'en finit pas de mourir. Avant de me dire je t'aime, Avant que je puisse vous le dire, Attendez que ma joie revienne, Qu'au matin je puisse sourire. Laissez-moi. Le chagrin m'emporte Et je vogue sur mon delire. Laissez-moi. Ouvrez cette porte. Laissez-moi. Je vais revenir. J'attendrai que ma joie revienne Et que soit mort le souvenir De cet amour de tant de peine Pour lequel j'ai voulu mourir. J'attendrai que ma joie revienne, Qu'au matin je puisse sourire, Que le vent ait seche ma peine Et la nuit calme mon delire. Il est, parait-il, un rivage Ou l'on guerit du mal d'aimer. Les amours mortes y font naufrage, Epaves mortes du passe. Si tu veux que ma joie revienne, Qu'au matin, je puisse sourire Vers ce pays ou meurt la peine, Je t'en prie, laisse-moi partir. Il faut de mes amours anciennes Que perisse le souvenir Pour que, liberee de ma chaine, Vers toi, je puisse revenir. Alors, je t'en fais la promesse, Ensemble nous irons cueillir Au jardin fou de la tendresse La fleur d'amour qui va s'ouvrir Mais c'est trop tot pour dire je t'aime, Trop tot pour te l'entendre dire. La voix que j'entends, c'est la sienne. Ils sont vivants, mes souvenirs. Pardonne-moi : c'est lui que j'aime. Le passe ne veut pas mourir. |
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from Barbara - Voyageuse (2003)
Attendez que ma joie revienne
Et que se meure le souvenir De cet amour de tant de peine Qui n'en finit pas de mourir. Avant de me dire je t'aime, Avant que je puisse vous le dire, Attendez que ma joie revienne, Qu'au matin je puisse sourire. Laissez-moi. Le chagrin m'emporte Et je vogue sur mon delire. Laissez-moi. Ouvrez cette porte. Laissez-moi. Je vais revenir. J'attendrai que ma joie revienne Et que soit mort le souvenir De cet amour de tant de peine Pour lequel j'ai voulu mourir. J'attendrai que ma joie revienne, Qu'au matin je puisse sourire, Que le vent ait seche ma peine Et la nuit calme mon delire. Il est, parait-il, un rivage Ou l'on guerit du mal d'aimer. Les amours mortes y font naufrage, Epaves mortes du passe. Si tu veux que ma joie revienne, Qu'au matin, je puisse sourire Vers ce pays ou meurt la peine, Je t'en prie, laisse-moi partir. Il faut de mes amours anciennes Que perisse le souvenir Pour que, liberee de ma chaine, Vers toi, je puisse revenir. Alors, je t'en fais la promesse, Ensemble nous irons cueillir Au jardin fou de la tendresse La fleur d'amour qui va s'ouvrir Mais c'est trop tot pour dire je t'aime, Trop tot pour te l'entendre dire. La voix que j'entends, c'est la sienne. Ils sont vivants, mes souvenirs. Pardonne-moi : c'est lui que j'aime. Le passe ne veut pas mourir. |
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from Barbara - Une Soiree Avec Barbara (2001) | |||||
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from Barbara - Voyageuse (2003) | |||||
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from Barbara - Olympia 1978 (2004)
Y a un arbre, je m'y colle,
Dans le petit bois de Saint-Amand, Je t'attrape, tu t'y colles, Je me cache, a toi maintenant, Y a un arbre, pigeon vole, Dans le petit bois de Saint-Amand, Ou tournent nos rondes folles, Pigeon vole, vole, vole au vent, Dessus l'arbre, oiseau vole, Et s'envole, voila le printemps, Y a nos quinze ans qui s'affolent, Dans le petit bois de Saint-Amand, Et sous l'arbre, sans paroles, Tu me berces amoureusement, Et dans l'herbe, jupon vole, Et s'envolent nos reves d'enfants, Mais un beau jour, tete folle, Loin du petit bois de Saint-Amand, Et loin du temps de l'ecole, Je suis partie, vole, vole au vent, Bonjour l'arbre, mon bel arbre, Je reviens, j'ai le c?ur content, Sous tes branches qui se penchent, Je retrouve mes reves d'enfant, Y a un arbre, si je meurs, Je veux qu'on m'y couche doucement, Qu'il soit ma derniere demeure, Dans le petit bois de Saint-Amand, Qu'il soit ma derniere demeure, Dans le petit bois de Saint-A... Y a un arbre, pigeon vole, Mon c?ur vole, Pigeon vole et s'envole, Y a un arbre, pigeon vole... |
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from Barbara - Femme Piano (2004)
Y a un arbre, je m'y colle,
Dans le petit bois de Saint-Amand, Je t'attrape, tu t'y colles, Je me cache, a toi maintenant, Y a un arbre, pigeon vole, Dans le petit bois de Saint-Amand, Ou tournent nos rondes folles, Pigeon vole, vole, vole au vent, Dessus l'arbre, oiseau vole, Et s'envole, voila le printemps, Y a nos quinze ans qui s'affolent, Dans le petit bois de Saint-Amand, Et sous l'arbre, sans paroles, Tu me berces amoureusement, Et dans l'herbe, jupon vole, Et s'envolent nos reves d'enfants, Mais un beau jour, tete folle, Loin du petit bois de Saint-Amand, Et loin du temps de l'ecole, Je suis partie, vole, vole au vent, Bonjour l'arbre, mon bel arbre, Je reviens, j'ai le c?ur content, Sous tes branches qui se penchent, Je retrouve mes reves d'enfant, Y a un arbre, si je meurs, Je veux qu'on m'y couche doucement, Qu'il soit ma derniere demeure, Dans le petit bois de Saint-Amand, Qu'il soit ma derniere demeure, Dans le petit bois de Saint-A... Y a un arbre, pigeon vole, Mon c?ur vole, Pigeon vole et s'envole, Y a un arbre, pigeon vole... |
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from Barbara - Les 50 Plus Belles Chansons (2008)
Y a un arbre, je m'y colle,
Dans le petit bois de Saint-Amand, Je t'attrape, tu t'y colles, Je me cache, a toi maintenant, Y a un arbre, pigeon vole, Dans le petit bois de Saint-Amand, Ou tournent nos rondes folles, Pigeon vole, vole, vole au vent, Dessus l'arbre, oiseau vole, Et s'envole, voila le printemps, Y a nos quinze ans qui s'affolent, Dans le petit bois de Saint-Amand, Et sous l'arbre, sans paroles, Tu me berces amoureusement, Et dans l'herbe, jupon vole, Et s'envolent nos reves d'enfants, Mais un beau jour, tete folle, Loin du petit bois de Saint-Amand, Et loin du temps de l'ecole, Je suis partie, vole, vole au vent, Bonjour l'arbre, mon bel arbre, Je reviens, j'ai le c?ur content, Sous tes branches qui se penchent, Je retrouve mes reves d'enfant, Y a un arbre, si je meurs, Je veux qu'on m'y couche doucement, Qu'il soit ma derniere demeure, Dans le petit bois de Saint-Amand, Qu'il soit ma derniere demeure, Dans le petit bois de Saint-A... Y a un arbre, pigeon vole, Mon c?ur vole, Pigeon vole et s'envole, Y a un arbre, pigeon vole... |
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from Barbara - Chanson Francaise (2015) | |||||
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from Barbara - Voyageuse (2003)
J'ai le souvenir d'une nuit,
Une nuit de mon enfance Toute pareille a celle-ci, Une longue nuit de silence. Moi qui ne me souviens jamais Du passe qui m'importune, C'est drole, j'ai garde le secret De cette longue nuit sans lune. J'ai le souvenir d'une nuit, D'une nuit de mon enfance, Toute pareille a celle-ci, Une longue nuit de silence. Soudain, je me suis reveillee. Il y avait une presence. Soudain, je me suis reveillee Dans une demi somnolence. C'etait au dehors. On parlait, A voix basse, comme un murmure, Comme un sanglot etouffe, Au dehors, j' en etais sure. J' ai le souvenir d'une nuit, D'une nuit de mon enfance Toute pareille a celle-ci, Une longue nuit de silence. J'allais, a demi eveillee, Guidee par l'etrange murmure. J'allais, a demi eveillee, Suivant une allee obscure. Il y eut, je me le rapelle, Surgissant de l'allee obscure, Il y eut un bruissement d'ailes La, tout contre ma figure. C'etait au c?ur de la nuit. C'etait une foret profonde. C'etait la, comme cette nuit, Un bruit sourd venant d'outre-tombe. Qui es-tu pour me revenir ? Quel est donc le mal qui t'enchaine ? Qui es-tu pour me revenir Et veux-tu que, vers toi, je vienne ? S' il le faut, j'irais encore Tant et tant de nuits profondes, Sans jamais revoir l'aurore, Sans jamais revoir le monde Pour qu'enfin tu puisses dormir, Pour qu'enfin ton c?ur se repose, Que tu finisses de mourir Sous tes paupieres deja closes. J'ai le souvenir d'une nuit, Une nuit de mon enfance, Toute pareille a celle-ci Froide et lourde de silence... |
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from Barbara - Femme Piano (2004)
J'ai le souvenir d'une nuit,
Une nuit de mon enfance Toute pareille a celle-ci, Une longue nuit de silence. Moi qui ne me souviens jamais Du passe qui m'importune, C'est drole, j'ai garde le secret De cette longue nuit sans lune. J'ai le souvenir d'une nuit, D'une nuit de mon enfance, Toute pareille a celle-ci, Une longue nuit de silence. Soudain, je me suis reveillee. Il y avait une presence. Soudain, je me suis reveillee Dans une demi somnolence. C'etait au dehors. On parlait, A voix basse, comme un murmure, Comme un sanglot etouffe, Au dehors, j' en etais sure. J' ai le souvenir d'une nuit, D'une nuit de mon enfance Toute pareille a celle-ci, Une longue nuit de silence. J'allais, a demi eveillee, Guidee par l'etrange murmure. J'allais, a demi eveillee, Suivant une allee obscure. Il y eut, je me le rapelle, Surgissant de l'allee obscure, Il y eut un bruissement d'ailes La, tout contre ma figure. C'etait au c?ur de la nuit. C'etait une foret profonde. C'etait la, comme cette nuit, Un bruit sourd venant d'outre-tombe. Qui es-tu pour me revenir ? Quel est donc le mal qui t'enchaine ? Qui es-tu pour me revenir Et veux-tu que, vers toi, je vienne ? S' il le faut, j'irais encore Tant et tant de nuits profondes, Sans jamais revoir l'aurore, Sans jamais revoir le monde Pour qu'enfin tu puisses dormir, Pour qu'enfin ton c?ur se repose, Que tu finisses de mourir Sous tes paupieres deja closes. J'ai le souvenir d'une nuit, Une nuit de mon enfance, Toute pareille a celle-ci Froide et lourde de silence... |
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from Barbara - Chanson Francaise (2015) | |||||
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from Barbara - L'Aigle Noir (2004)
Au revoir
Nous etions bien ensemble Au revoir Ces liens qui nous assemblent Ne pourront pas se defaire, ce soir Dans cette gare Pour ce train qui part Au revoir Tu pars mais tu m'emportes Au revoir Il faut fermer les portes Ou que tu sois, je serai cachee A l'ombre de toi A l'ombre de toi Il faudrait, il faudrait peut-etre Que je te dise "reste" Il faudrait, il faudrait peut-etre Que tu me dises "viens, viens" Au revoir Non, il n'y a personne Pour nous voir Qui se soucie en somme D'un homme qui prend son train, le soir Dans une gare Pour autre part Au revoir Oui, je serai prudente Et ce soir Oui, c'est promis, je rentre Que dis-tu, oui, j'ai froid, je frissonne Mais c'est vrai Que c'est bientot l'automne Il faudrait, il faudrait peut-etre Que je te dise "reste" Et tout changerait peut-etre Si tu me disais "viens, viens" Au revoir Mais qu'est-ce que tu racontes Au revoir Qu'il faut que je pardonne Si demain je recevais Une lettre de toi Une lettre de toi Me disant Me disant peut-etre Tout a coup, je comprends Que tu m'avais quittee, peut-etre Pour longtemps, tres longtemps Oui Mais soudain, voila que ton train demarre Nous n'avons pas eu le temps de nous dire Au revoir Nous etions bien ensemble Au revoir Les liens qui nous assemblent Au revoir, mon amour Au revoir, mon amour Au revoir, mon amour... |
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from Barbara - Chante Barbara (2001) | |||||
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3:38 | ||||
from Barbara - La Voce Del Mio Cuore (2009) | |||||
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from Barbara - Barbara présente `Le soleil noir` - Interview par Jean Serge (Europe 1 / 21 juillet 1968) (2017) | |||||
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from Barbara - Barbara présente `Le soleil noir` - Interview par Jean Serge (Europe 1 / 21 juillet 1968) (2017) | |||||
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from Barbara - Barbara présente `Le soleil noir` - Interview par Jean Serge (Europe 1 / 21 juillet 1968) (2017) | |||||
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from Barbara - Barbara présente `Le soleil noir` - Interview par Jean Serge (Europe 1 / 21 juillet 1968) (2017) | |||||
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from Barbara - Barbara présente `Le soleil noir` - Interview par Jean Serge (Europe 1 / 21 juillet 1968) (2017) | |||||
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from Barbara - Barbara présente `Le soleil noir` - Interview par Jean Serge (Europe 1 / 21 juillet 1968) (2017) | |||||
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from Barbara - Les 50 Plus Belles Chansons (2008) | |||||
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from Barbara - Lily passion (2017) | |||||
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from Barbara - La Chanteuse De Minuit (2003) | |||||
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from Barbara - Barbara (2012) | |||||
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from Barbara - Chante Barbara (2001)
La fille, pour son plaisir,
Choisit le matelot. L'eau voulut des navires Pour voguer a son eau. L'homme choisit la guerre Pour jouer au soldat Et partit pour la faire Sur l'air de "Ca ira". Bref, chacun possedait Ce qu'il avait souhaite. Moi, je voulais un homme Ni trop laid, ni trop beau, Qui promenerait l'amour Sur les coins de ma peau, Un homme qui, au petit matin, Me prendrait par la main Pour m'emmener croquer Un rayon de soleil. Moi, je voulais un homme. A chacun sa merveille Et la vie, en passant Un jour, me l'amena. Puis, la fille prit des coups Par son beau matelot. La guerre, en plein mois d'aout, Nous faucha le soldat. Le navire qui passait Juste a ce moment-la, Le navire qui passait Prit l'eau et puis coula. Bref, on ne sait pourquoi Mais tout se renversa. Moi, je pris en plein c?ur Un eclat de son rire Quand il jeta mon bonheur Dans la fosse aux souvenirs. Je le vis s'en aller, Emportent mon soleil, Emportant mes etes. J'avais voulu un homme. J'aurais du me mefier : Cette garce de vie, Un jour, me le reprit. Qu'importe si la vie Nous donne et nous reprend Puisqu'ici-bas, tout n'est Que recommencement. La fille, pour son plaisir, Reprendra des matelots. On refera des navires Pour le ventre de l'eau. Y aura toujours des guerres Pour jouer aux soldats Qui s'en iront les faire Sur l'air de "Ca ira". Eh ben moi, je reprendrai un homme. Pas de mal a ca, Un homme. Les hommes, j'aime ca. Un homme, un homme, un homme... |
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from Barbara - Une Soiree Avec Barbara (2001)
La fille, pour son plaisir,
Choisit le matelot. L'eau voulut des navires Pour voguer a son eau. L'homme choisit la guerre Pour jouer au soldat Et partit pour la faire Sur l'air de "Ca ira". Bref, chacun possedait Ce qu'il avait souhaite. Moi, je voulais un homme Ni trop laid, ni trop beau, Qui promenerait l'amour Sur les coins de ma peau, Un homme qui, au petit matin, Me prendrait par la main Pour m'emmener croquer Un rayon de soleil. Moi, je voulais un homme. A chacun sa merveille Et la vie, en passant Un jour, me l'amena. Puis, la fille prit des coups Par son beau matelot. La guerre, en plein mois d'aout, Nous faucha le soldat. Le navire qui passait Juste a ce moment-la, Le navire qui passait Prit l'eau et puis coula. Bref, on ne sait pourquoi Mais tout se renversa. Moi, je pris en plein c?ur Un eclat de son rire Quand il jeta mon bonheur Dans la fosse aux souvenirs. Je le vis s'en aller, Emportent mon soleil, Emportant mes etes. J'avais voulu un homme. J'aurais du me mefier : Cette garce de vie, Un jour, me le reprit. Qu'importe si la vie Nous donne et nous reprend Puisqu'ici-bas, tout n'est Que recommencement. La fille, pour son plaisir, Reprendra des matelots. On refera des navires Pour le ventre de l'eau. Y aura toujours des guerres Pour jouer aux soldats Qui s'en iront les faire Sur l'air de "Ca ira". Eh ben moi, je reprendrai un homme. Pas de mal a ca, Un homme. Les hommes, j'aime ca. Un homme, un homme, un homme... |
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from Barbara - La Voce Del Mio Cuore (2009) | |||||
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from Barbara - Les 50 Plus Belles Chansons (2008) | |||||
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from Barbara - Giura! (2009) | |||||
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from Barbara - Lily passion (2017) | |||||
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from Barbara - Barbara Chante G. Brassens Et J. Brel [project] (1992)
Est-ce la main de Dieu,
Est-ce la main de Diable Qui a tisse le ciel De ce beau matin-la, Lui plantant dans le cœur Un morceau de soleil Qui se brise sur l'eau En mille eclats vermeils ? Est-ce la main de Dieu, Est-ce la main du Diable Qui a mis sur la mer Cet etrange voilier Qui, pareil au serpent, Semble se deplier, Noir et blanc, sur l'eau bleue Que le vent fait danser ? Est-ce Dieu, est-ce Diable Ou les deux a la fois Qui, un jour, s'unissant, Ont fait ce matin-la ? Est-ce l'un, est-ce l'autre ? Vraiment, je ne sais pas Mais, pour tant de beaute, Merci, et chapeau bas. Est-ce la main de Dieu, Est-ce la main de Diable Qui a mis cette rose Au jardin que voila ? Pour quel ardent amour, Pour quelle noble dame La rose de velours Au jardin que voila ? Et ces prunes eclatees, Et tous ces lilas blancs, Et ces grosseilles rouges, Et ces rires d'enfants, Et Christine si belle Sous ses jupons blancs, Avec, au beau milieu, L'eclat de ses vingt ans ? Est-ce Dieu, est-ce Diable Ou les deux a la fois Qui, un jour, s'unissant, Ont fait ce printemps-la ? Est-ce l'un, est-ce l'autre ? Vraiment, je ne sais pas Mais pour tant de beaute, Merci, et chapeau bas ! Le voilier qui s'enfuit, La rose que voila Et ces fleurs et ces fruits Et nos larmes de joie... Qui a pu nous offrir Toutes ces beautes-la ? Cueillons-les sans rien dire. Va, c'est pour toi et moi ! Est-ce la main de Dieu Et celle du Malin Qui, un jour, s'unissant, Ont croise nos chemins ? Est-ce l'un, est-ce l'autre ? Vraiment, je ne sais pas Mais pour cet amour-la Merci, et chapeau bas ! Mais pour toi et pour moi Merci, et chapeau bas ! |
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from Barbara - Chante Barbara (2001)
Est-ce la main de Dieu,
Est-ce la main de Diable Qui a tisse le ciel De ce beau matin-la, Lui plantant dans le cœur Un morceau de soleil Qui se brise sur l'eau En mille eclats vermeils ? Est-ce la main de Dieu, Est-ce la main du Diable Qui a mis sur la mer Cet etrange voilier Qui, pareil au serpent, Semble se deplier, Noir et blanc, sur l'eau bleue Que le vent fait danser ? Est-ce Dieu, est-ce Diable Ou les deux a la fois Qui, un jour, s'unissant, Ont fait ce matin-la ? Est-ce l'un, est-ce l'autre ? Vraiment, je ne sais pas Mais, pour tant de beaute, Merci, et chapeau bas. Est-ce la main de Dieu, Est-ce la main de Diable Qui a mis cette rose Au jardin que voila ? Pour quel ardent amour, Pour quelle noble dame La rose de velours Au jardin que voila ? Et ces prunes eclatees, Et tous ces lilas blancs, Et ces grosseilles rouges, Et ces rires d'enfants, Et Christine si belle Sous ses jupons blancs, Avec, au beau milieu, L'eclat de ses vingt ans ? Est-ce Dieu, est-ce Diable Ou les deux a la fois Qui, un jour, s'unissant, Ont fait ce printemps-la ? Est-ce l'un, est-ce l'autre ? Vraiment, je ne sais pas Mais pour tant de beaute, Merci, et chapeau bas ! Le voilier qui s'enfuit, La rose que voila Et ces fleurs et ces fruits Et nos larmes de joie... Qui a pu nous offrir Toutes ces beautes-la ? Cueillons-les sans rien dire. Va, c'est pour toi et moi ! Est-ce la main de Dieu Et celle du Malin Qui, un jour, s'unissant, Ont croise nos chemins ? Est-ce l'un, est-ce l'autre ? Vraiment, je ne sais pas Mais pour cet amour-la Merci, et chapeau bas ! Mais pour toi et pour moi Merci, et chapeau bas ! |
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from Barbara - Une Soiree Avec Barbara (2001)
Est-ce la main de Dieu,
Est-ce la main de Diable Qui a tisse le ciel De ce beau matin-la, Lui plantant dans le cœur Un morceau de soleil Qui se brise sur l'eau En mille eclats vermeils ? Est-ce la main de Dieu, Est-ce la main du Diable Qui a mis sur la mer Cet etrange voilier Qui, pareil au serpent, Semble se deplier, Noir et blanc, sur l'eau bleue Que le vent fait danser ? Est-ce Dieu, est-ce Diable Ou les deux a la fois Qui, un jour, s'unissant, Ont fait ce matin-la ? Est-ce l'un, est-ce l'autre ? Vraiment, je ne sais pas Mais, pour tant de beaute, Merci, et chapeau bas. Est-ce la main de Dieu, Est-ce la main de Diable Qui a mis cette rose Au jardin que voila ? Pour quel ardent amour, Pour quelle noble dame La rose de velours Au jardin que voila ? Et ces prunes eclatees, Et tous ces lilas blancs, Et ces grosseilles rouges, Et ces rires d'enfants, Et Christine si belle Sous ses jupons blancs, Avec, au beau milieu, L'eclat de ses vingt ans ? Est-ce Dieu, est-ce Diable Ou les deux a la fois Qui, un jour, s'unissant, Ont fait ce printemps-la ? Est-ce l'un, est-ce l'autre ? Vraiment, je ne sais pas Mais pour tant de beaute, Merci, et chapeau bas ! Le voilier qui s'enfuit, La rose que voila Et ces fleurs et ces fruits Et nos larmes de joie... Qui a pu nous offrir Toutes ces beautes-la ? Cueillons-les sans rien dire. Va, c'est pour toi et moi ! Est-ce la main de Dieu Et celle du Malin Qui, un jour, s'unissant, Ont croise nos chemins ? Est-ce l'un, est-ce l'autre ? Vraiment, je ne sais pas Mais pour cet amour-la Merci, et chapeau bas ! Mais pour toi et pour moi Merci, et chapeau bas ! |
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from Barbara - Voyageuse (2003)
Est-ce la main de Dieu,
Est-ce la main de Diable Qui a tisse le ciel De ce beau matin-la, Lui plantant dans le cœur Un morceau de soleil Qui se brise sur l'eau En mille eclats vermeils ? Est-ce la main de Dieu, Est-ce la main du Diable Qui a mis sur la mer Cet etrange voilier Qui, pareil au serpent, Semble se deplier, Noir et blanc, sur l'eau bleue Que le vent fait danser ? Est-ce Dieu, est-ce Diable Ou les deux a la fois Qui, un jour, s'unissant, Ont fait ce matin-la ? Est-ce l'un, est-ce l'autre ? Vraiment, je ne sais pas Mais, pour tant de beaute, Merci, et chapeau bas. Est-ce la main de Dieu, Est-ce la main de Diable Qui a mis cette rose Au jardin que voila ? Pour quel ardent amour, Pour quelle noble dame La rose de velours Au jardin que voila ? Et ces prunes eclatees, Et tous ces lilas blancs, Et ces grosseilles rouges, Et ces rires d'enfants, Et Christine si belle Sous ses jupons blancs, Avec, au beau milieu, L'eclat de ses vingt ans ? Est-ce Dieu, est-ce Diable Ou les deux a la fois Qui, un jour, s'unissant, Ont fait ce printemps-la ? Est-ce l'un, est-ce l'autre ? Vraiment, je ne sais pas Mais pour tant de beaute, Merci, et chapeau bas ! Le voilier qui s'enfuit, La rose que voila Et ces fleurs et ces fruits Et nos larmes de joie... Qui a pu nous offrir Toutes ces beautes-la ? Cueillons-les sans rien dire. Va, c'est pour toi et moi ! Est-ce la main de Dieu Et celle du Malin Qui, un jour, s'unissant, Ont croise nos chemins ? Est-ce l'un, est-ce l'autre ? Vraiment, je ne sais pas Mais pour cet amour-la Merci, et chapeau bas ! Mais pour toi et pour moi Merci, et chapeau bas ! |
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from Barbara - Olympia 1978 (2004)
Est-ce la main de Dieu,
Est-ce la main de Diable Qui a tisse le ciel De ce beau matin-la, Lui plantant dans le cœur Un morceau de soleil Qui se brise sur l'eau En mille eclats vermeils ? Est-ce la main de Dieu, Est-ce la main du Diable Qui a mis sur la mer Cet etrange voilier Qui, pareil au serpent, Semble se deplier, Noir et blanc, sur l'eau bleue Que le vent fait danser ? Est-ce Dieu, est-ce Diable Ou les deux a la fois Qui, un jour, s'unissant, Ont fait ce matin-la ? Est-ce l'un, est-ce l'autre ? Vraiment, je ne sais pas Mais, pour tant de beaute, Merci, et chapeau bas. Est-ce la main de Dieu, Est-ce la main de Diable Qui a mis cette rose Au jardin que voila ? Pour quel ardent amour, Pour quelle noble dame La rose de velours Au jardin que voila ? Et ces prunes eclatees, Et tous ces lilas blancs, Et ces grosseilles rouges, Et ces rires d'enfants, Et Christine si belle Sous ses jupons blancs, Avec, au beau milieu, L'eclat de ses vingt ans ? Est-ce Dieu, est-ce Diable Ou les deux a la fois Qui, un jour, s'unissant, Ont fait ce printemps-la ? Est-ce l'un, est-ce l'autre ? Vraiment, je ne sais pas Mais pour tant de beaute, Merci, et chapeau bas ! Le voilier qui s'enfuit, La rose que voila Et ces fleurs et ces fruits Et nos larmes de joie... Qui a pu nous offrir Toutes ces beautes-la ? Cueillons-les sans rien dire. Va, c'est pour toi et moi ! Est-ce la main de Dieu Et celle du Malin Qui, un jour, s'unissant, Ont croise nos chemins ? Est-ce l'un, est-ce l'autre ? Vraiment, je ne sais pas Mais pour cet amour-la Merci, et chapeau bas ! Mais pour toi et pour moi Merci, et chapeau bas ! |
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from Barbara - Femme Piano (2004)
Est-ce la main de Dieu,
Est-ce la main de Diable Qui a tisse le ciel De ce beau matin-la, Lui plantant dans le cœur Un morceau de soleil Qui se brise sur l'eau En mille eclats vermeils ? Est-ce la main de Dieu, Est-ce la main du Diable Qui a mis sur la mer Cet etrange voilier Qui, pareil au serpent, Semble se deplier, Noir et blanc, sur l'eau bleue Que le vent fait danser ? Est-ce Dieu, est-ce Diable Ou les deux a la fois Qui, un jour, s'unissant, Ont fait ce matin-la ? Est-ce l'un, est-ce l'autre ? Vraiment, je ne sais pas Mais, pour tant de beaute, Merci, et chapeau bas. Est-ce la main de Dieu, Est-ce la main de Diable Qui a mis cette rose Au jardin que voila ? Pour quel ardent amour, Pour quelle noble dame La rose de velours Au jardin que voila ? Et ces prunes eclatees, Et tous ces lilas blancs, Et ces grosseilles rouges, Et ces rires d'enfants, Et Christine si belle Sous ses jupons blancs, Avec, au beau milieu, L'eclat de ses vingt ans ? Est-ce Dieu, est-ce Diable Ou les deux a la fois Qui, un jour, s'unissant, Ont fait ce printemps-la ? Est-ce l'un, est-ce l'autre ? Vraiment, je ne sais pas Mais pour tant de beaute, Merci, et chapeau bas ! Le voilier qui s'enfuit, La rose que voila Et ces fleurs et ces fruits Et nos larmes de joie... Qui a pu nous offrir Toutes ces beautes-la ? Cueillons-les sans rien dire. Va, c'est pour toi et moi ! Est-ce la main de Dieu Et celle du Malin Qui, un jour, s'unissant, Ont croise nos chemins ? Est-ce l'un, est-ce l'autre ? Vraiment, je ne sais pas Mais pour cet amour-la Merci, et chapeau bas ! Mais pour toi et pour moi Merci, et chapeau bas ! |
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from Barbara - Barbara Theatre Des Variets 1974 (2007) | |||||
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from Barbara - Les 50 Plus Belles Chansons (2008)
Est-ce la main de Dieu,
Est-ce la main de Diable Qui a tisse le ciel De ce beau matin-la, Lui plantant dans le cœur Un morceau de soleil Qui se brise sur l'eau En mille eclats vermeils ? Est-ce la main de Dieu, Est-ce la main du Diable Qui a mis sur la mer Cet etrange voilier Qui, pareil au serpent, Semble se deplier, Noir et blanc, sur l'eau bleue Que le vent fait danser ? Est-ce Dieu, est-ce Diable Ou les deux a la fois Qui, un jour, s'unissant, Ont fait ce matin-la ? Est-ce l'un, est-ce l'autre ? Vraiment, je ne sais pas Mais, pour tant de beaute, Merci, et chapeau bas. Est-ce la main de Dieu, Est-ce la main de Diable Qui a mis cette rose Au jardin que voila ? Pour quel ardent amour, Pour quelle noble dame La rose de velours Au jardin que voila ? Et ces prunes eclatees, Et tous ces lilas blancs, Et ces grosseilles rouges, Et ces rires d'enfants, Et Christine si belle Sous ses jupons blancs, Avec, au beau milieu, L'eclat de ses vingt ans ? Est-ce Dieu, est-ce Diable Ou les deux a la fois Qui, un jour, s'unissant, Ont fait ce printemps-la ? Est-ce l'un, est-ce l'autre ? Vraiment, je ne sais pas Mais pour tant de beaute, Merci, et chapeau bas ! Le voilier qui s'enfuit, La rose que voila Et ces fleurs et ces fruits Et nos larmes de joie... Qui a pu nous offrir Toutes ces beautes-la ? Cueillons-les sans rien dire. Va, c'est pour toi et moi ! Est-ce la main de Dieu Et celle du Malin Qui, un jour, s'unissant, Ont croise nos chemins ? Est-ce l'un, est-ce l'autre ? Vraiment, je ne sais pas Mais pour cet amour-la Merci, et chapeau bas ! Mais pour toi et pour moi Merci, et chapeau bas ! |
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from Barbara - Chanson Francaise (2015) | |||||
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from Barbara - Lumieres sur Barbara, Vol. 2 (2017) | |||||
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from Barbara - Ti Voglio Bene Mamma (2009) | |||||
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from Barbara - Amours Incestueuses [ep] (2007) | |||||
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from Barbara - Amours Incestueuses [ep] (2007) | |||||
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from Barbara - La Voce Del Mio Cuore (2009) | |||||
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from Barbara - Giura! (2009) | |||||
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from Barbara - Giura! (2009) | |||||
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from Barbara - La Femme (2014) | |||||
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from Barbara - La Chanteuse De Minuit (2003) | |||||
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from Barbara - Barbara (2012) | |||||
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from Barbara - Donna Di Cuori (2009) | |||||
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from Barbara - Barbara Chante G. Brassens Et J. Brel [project] (1992) | |||||
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from Barbara - Ti Voglio Bene Mamma (2009) | |||||
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from Barbara - La Voce Del Mio Cuore (2009) | |||||
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from Barbara - Giura! (2009) | |||||
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from Barbara - La Voce Del Mio Cuore (2009) | |||||
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from Barbara - Barbara Chante G. Brassens Et J. Brel [project] (1992) | |||||
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from Barbara - Les 50 Plus Belles Chansons (2008) | |||||
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from Barbara - Voyageuse (2003) | |||||
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from Barbara - Voyageuse (2003) | |||||
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from Barbara - Femme Piano (2004) | |||||
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from Barbara - Lumieres sur Barbara, Vol. 2 (2017) | |||||
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from Barbara - Giura! (2009) | |||||
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from Barbara - Donna Di Cuori (2009) | |||||
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from Barbara - Voyageuse (2003)
Dans les paniers d'osier de la salle des ventes
Une gloire dechue des folles annees trente Avait mis aux encheres, parmi quelques brocantes Un vieux bijou donne par quel amour d'antan Elle etait la, figee, superbe et dechirante Ses mains qui se nouaient, se denouaient tremblantes Des mains belles encore, deformees, les doigts nus Comme sont nus, parfois, les arbres en Novembre Comme tous les matins, dans la salle des ventes Bourdonnait une foule, fievreuse et impatiente Ceux qui, pour quelques sous, rachetent pour les vendre Les tresors fabuleux d'un passe qui n'est plus Dans ce vieux lit casse, en bois de palissandre Que d'ombres enlacees, ont reve a s'attendre Les choses ont leurs secrets, les choses ont leurs legendes Mais les choses nous parlent si nous savons entendre Le marteau se leva, dans la salle des ventes Une fois, puis deux fois, alors, dans le silence Elle cria: "Je prends, je rachete tout ca Ce que vous vendez la, c'est mon passe a moi" C'etait trop tard, deja, dans la salle des ventes Le marteau retomba sur sa voix suppliante Elle vit s'en aller, parmi quelques brocantes Le dernier souvenir de ses amours d'antan Pres des paniers d'osier, dans la salle des ventes Une femme pleurait ses folles annees trente Et revoyait soudain defiler son passe Defiler son passe, defiler son passe Car venait de surgir, du fond de sa memoire Du fond de sa memoire, un visage oublie Une image cherie, du fond de sa memoire Son seul amour de femme, son seul amour de femme Hagarde, elle sortit de la salle des ventes Froissant quelques billets, dedans ses main tremblantes Froissant quelques billets, du bout de ses doigts nus Quelques billets froisses, pour un passe perdu Hagarde, elle sortit de la salle des ventes Je la vis s'eloigner, courbee et dechirante De ses amours d'antan, rien ne lui restait plus Pas meme ce souvenir, aujourd'hui disparu... |
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from Barbara - Olympia 1978 (2004)
Dans les paniers d'osier de la salle des ventes
Une gloire dechue des folles annees trente Avait mis aux encheres, parmi quelques brocantes Un vieux bijou donne par quel amour d'antan Elle etait la, figee, superbe et dechirante Ses mains qui se nouaient, se denouaient tremblantes Des mains belles encore, deformees, les doigts nus Comme sont nus, parfois, les arbres en Novembre Comme tous les matins, dans la salle des ventes Bourdonnait une foule, fievreuse et impatiente Ceux qui, pour quelques sous, rachetent pour les vendre Les tresors fabuleux d'un passe qui n'est plus Dans ce vieux lit casse, en bois de palissandre Que d'ombres enlacees, ont reve a s'attendre Les choses ont leurs secrets, les choses ont leurs legendes Mais les choses nous parlent si nous savons entendre Le marteau se leva, dans la salle des ventes Une fois, puis deux fois, alors, dans le silence Elle cria: "Je prends, je rachete tout ca Ce que vous vendez la, c'est mon passe a moi" C'etait trop tard, deja, dans la salle des ventes Le marteau retomba sur sa voix suppliante Elle vit s'en aller, parmi quelques brocantes Le dernier souvenir de ses amours d'antan Pres des paniers d'osier, dans la salle des ventes Une femme pleurait ses folles annees trente Et revoyait soudain defiler son passe Defiler son passe, defiler son passe Car venait de surgir, du fond de sa memoire Du fond de sa memoire, un visage oublie Une image cherie, du fond de sa memoire Son seul amour de femme, son seul amour de femme Hagarde, elle sortit de la salle des ventes Froissant quelques billets, dedans ses main tremblantes Froissant quelques billets, du bout de ses doigts nus Quelques billets froisses, pour un passe perdu Hagarde, elle sortit de la salle des ventes Je la vis s'eloigner, courbee et dechirante De ses amours d'antan, rien ne lui restait plus Pas meme ce souvenir, aujourd'hui disparu... |
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from Barbara - L'Aigle Noir (2004)
Dans les paniers d'osier de la salle des ventes
Une gloire dechue des folles annees trente Avait mis aux encheres, parmi quelques brocantes Un vieux bijou donne par quel amour d'antan Elle etait la, figee, superbe et dechirante Ses mains qui se nouaient, se denouaient tremblantes Des mains belles encore, deformees, les doigts nus Comme sont nus, parfois, les arbres en Novembre Comme tous les matins, dans la salle des ventes Bourdonnait une foule, fievreuse et impatiente Ceux qui, pour quelques sous, rachetent pour les vendre Les tresors fabuleux d'un passe qui n'est plus Dans ce vieux lit casse, en bois de palissandre Que d'ombres enlacees, ont reve a s'attendre Les choses ont leurs secrets, les choses ont leurs legendes Mais les choses nous parlent si nous savons entendre Le marteau se leva, dans la salle des ventes Une fois, puis deux fois, alors, dans le silence Elle cria: "Je prends, je rachete tout ca Ce que vous vendez la, c'est mon passe a moi" C'etait trop tard, deja, dans la salle des ventes Le marteau retomba sur sa voix suppliante Elle vit s'en aller, parmi quelques brocantes Le dernier souvenir de ses amours d'antan Pres des paniers d'osier, dans la salle des ventes Une femme pleurait ses folles annees trente Et revoyait soudain defiler son passe Defiler son passe, defiler son passe Car venait de surgir, du fond de sa memoire Du fond de sa memoire, un visage oublie Une image cherie, du fond de sa memoire Son seul amour de femme, son seul amour de femme Hagarde, elle sortit de la salle des ventes Froissant quelques billets, dedans ses main tremblantes Froissant quelques billets, du bout de ses doigts nus Quelques billets froisses, pour un passe perdu Hagarde, elle sortit de la salle des ventes Je la vis s'eloigner, courbee et dechirante De ses amours d'antan, rien ne lui restait plus Pas meme ce souvenir, aujourd'hui disparu... |
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from Barbara - Femme Piano (2004)
Dans les paniers d'osier de la salle des ventes
Une gloire dechue des folles annees trente Avait mis aux encheres, parmi quelques brocantes Un vieux bijou donne par quel amour d'antan Elle etait la, figee, superbe et dechirante Ses mains qui se nouaient, se denouaient tremblantes Des mains belles encore, deformees, les doigts nus Comme sont nus, parfois, les arbres en Novembre Comme tous les matins, dans la salle des ventes Bourdonnait une foule, fievreuse et impatiente Ceux qui, pour quelques sous, rachetent pour les vendre Les tresors fabuleux d'un passe qui n'est plus Dans ce vieux lit casse, en bois de palissandre Que d'ombres enlacees, ont reve a s'attendre Les choses ont leurs secrets, les choses ont leurs legendes Mais les choses nous parlent si nous savons entendre Le marteau se leva, dans la salle des ventes Une fois, puis deux fois, alors, dans le silence Elle cria: "Je prends, je rachete tout ca Ce que vous vendez la, c'est mon passe a moi" C'etait trop tard, deja, dans la salle des ventes Le marteau retomba sur sa voix suppliante Elle vit s'en aller, parmi quelques brocantes Le dernier souvenir de ses amours d'antan Pres des paniers d'osier, dans la salle des ventes Une femme pleurait ses folles annees trente Et revoyait soudain defiler son passe Defiler son passe, defiler son passe Car venait de surgir, du fond de sa memoire Du fond de sa memoire, un visage oublie Une image cherie, du fond de sa memoire Son seul amour de femme, son seul amour de femme Hagarde, elle sortit de la salle des ventes Froissant quelques billets, dedans ses main tremblantes Froissant quelques billets, du bout de ses doigts nus Quelques billets froisses, pour un passe perdu Hagarde, elle sortit de la salle des ventes Je la vis s'eloigner, courbee et dechirante De ses amours d'antan, rien ne lui restait plus Pas meme ce souvenir, aujourd'hui disparu... |
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from Barbara - Les 50 Plus Belles Chansons (2008)
Dans les paniers d'osier de la salle des ventes
Une gloire dechue des folles annees trente Avait mis aux encheres, parmi quelques brocantes Un vieux bijou donne par quel amour d'antan Elle etait la, figee, superbe et dechirante Ses mains qui se nouaient, se denouaient tremblantes Des mains belles encore, deformees, les doigts nus Comme sont nus, parfois, les arbres en Novembre Comme tous les matins, dans la salle des ventes Bourdonnait une foule, fievreuse et impatiente Ceux qui, pour quelques sous, rachetent pour les vendre Les tresors fabuleux d'un passe qui n'est plus Dans ce vieux lit casse, en bois de palissandre Que d'ombres enlacees, ont reve a s'attendre Les choses ont leurs secrets, les choses ont leurs legendes Mais les choses nous parlent si nous savons entendre Le marteau se leva, dans la salle des ventes Une fois, puis deux fois, alors, dans le silence Elle cria: "Je prends, je rachete tout ca Ce que vous vendez la, c'est mon passe a moi" C'etait trop tard, deja, dans la salle des ventes Le marteau retomba sur sa voix suppliante Elle vit s'en aller, parmi quelques brocantes Le dernier souvenir de ses amours d'antan Pres des paniers d'osier, dans la salle des ventes Une femme pleurait ses folles annees trente Et revoyait soudain defiler son passe Defiler son passe, defiler son passe Car venait de surgir, du fond de sa memoire Du fond de sa memoire, un visage oublie Une image cherie, du fond de sa memoire Son seul amour de femme, son seul amour de femme Hagarde, elle sortit de la salle des ventes Froissant quelques billets, dedans ses main tremblantes Froissant quelques billets, du bout de ses doigts nus Quelques billets froisses, pour un passe perdu Hagarde, elle sortit de la salle des ventes Je la vis s'eloigner, courbee et dechirante De ses amours d'antan, rien ne lui restait plus Pas meme ce souvenir, aujourd'hui disparu... |
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from Barbara - Barbara Theatre Des Variets 1974 (2007) | |||||
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from Barbara - Barbara présente `Le soleil noir` - Interview par Jean Serge (Europe 1 / 21 juillet 1968) (2017) | |||||
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from Barbara - Une Soiree Avec Barbara (2001) | |||||
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from Barbara - Femme Piano (2004) | |||||
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from Barbara - Les 50 Plus Belles Chansons (2008) | |||||
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from Barbara - La Voce Del Mio Cuore (2009) | |||||
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from Barbara - L`homme en Habit (2009) | |||||
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from Barbara - Les Boutons Dores + 21 Succes De Barbara (2010) |