He miroir, dans le rap, c'est qui qui dechire ca. Des fois je me pose des questions. Miroir, miroir ne me cache rien dis moi tout. Moi je m'attends a tout, montre-moi tout. Mes defauts mes atouts, ici comme partout. Moi je sais peut etre pas tout mais je crois en Dieu avant tout.
Je sais que la curiosie est un vilain defaut, J'aimerai entrer dans ta peau. Emprunter tes yeux, m'observer un peu. Pour voir ce que tu vois quand tu me croises. Toi qui me cotoies ou qui me toises. Toi qui est au meme titre que moi sur cette terre. Une force d'attraction aussi puissante que l'argent. L'envie d'elucider le mystere, deshabiller le regard des gens. Qui de nos jours insignifiants, Ce masque de larmes, de joie theatrales. Pour ca on libere notre amour que dans le cercle familial. En France comme partout dans le monde. L'homme est ainsi fait et on si fait a la longue; Je capte les ondes bonnes ou mauvaises au coup d'oeil. Si tu la joue froid, couvre-toi, il fait moins cinq a l'acceuil. Je m'adapte meme si des fois ca m'ecoeure. Pour ceux qui prennent un malin plaisir, a mettre leur defauts en valeurs. J'aimerai visiter ton subconscient, m'entendre dans tes oreilles. M'impregnier de ta conscience juste pour voir si ca sonne pareil.
Miroir, miroir, ne me cache rien dis moi tout. Moi je m'attends a tout, montre-moi tout. Nos defauts, nos atouts, ici comme partout. Moi je sais peut-etre pas tout, Mais je crois en Dieu avant tout.
Miroir, miroir, ne me cache rien dis moi tout. Moi je m'attends a tout, montre-moi tout. Nos defauts, nos atouts, ici comme partout. Moi je sais peut-etre pas tout, Mais je crois en Dieu avant tout
J'aimerai comprendre la jalousie puisque chaque chose a une raison. Je me pose des questions qui n'aboutissent qu'a des suppositions. Est ce les faibles d'esprits qui s'abrutrissent de fausses opinions. Par manque de personnalite, un jaloux est touche par ma vie; Oh ! puis non, C'est comme pour le SIDA, pour ca y a pas d'antidote. On se contente dont ce que la nature nous dote. Miroir montre moi ces gens qui cassent du sucre sur notre dos. J'aimerai les surprendre en live pour qu'ils ressentent en eux ces defauts. On leur doit pas de compte, ils se rendent pas compte, c'est des fous. Fais moi apparaitre ces gens qui se disent vrai alors que c'est des faux. Je me mefie des gens, ne negligeant rien,intrinsigeant. C'est comme la Hagra, ca paie mal d'etre tigent C'est bien d'etre sympa, Mais ca profite aux gens qui le sont pas. Les races maudites d'hypocrites, aux sourires que je ne sens pas, Commentent des lapsus revelateurs. Je suis un peu parano, paro face aux compliments flatteurs. He miroir, miroir mais qui dois-je eviter, Hein miroir, mais qui dois-je inviter. Et quand ils nous arrivent un truc bien, est ce qu'on ne l'a pas merite. Donne-moi la cle du tiroir de la verite. Eclaire-moi les fonctions de ces facteurs, pulsions, rires, pleurs. Le coeur qu'abrite l'amour, la haine, la rancoeur. Les sentiments autant sur le plan relationnel qu'intimement. Si on pouvait les controler, on aimerait qui on veut, ca serait de la bombe, non. On anticiperait sur la douleur en etant precurseur. Miroir montre-moi le lieu ou se trouve mon ame soeur. Ca peut paraitre fou, j'aimerai saisir les sens du desir. Du regard au toucher qui t'amene au plaisir. Je trouve ca intransigeant le fait de convoiter. Miroir dis-moi la verite, ne me fais pas miroiter; J'aimerai faire disparaitre la pauvrete, la superiorite; Tous au juste milieu, on aurait plus a s'affronter. Miroir, miroir, au risque que tu te brises. J'aimerai aneantir le pouvoir et la meprise; En reflet incarne le visage du vice, Image. Le precieux regard qu'une mere porte a son fils.
Miroir, miroir, ne me cache rien dis moi tout. Moi je m'attends a tout, montre-moi tout. Nos defauts, nos atouts, ici comme partout. Moi je sais peut-etre pas tout, Mais je crois en Dieu avant tout.
Miroir, miroir, ne me cache rien dis moi tout. Moi je m'attends a tout, montre-moi tout. Nos defauts, nos atouts, ici comme partout. Moi je sais peut-etre pas tout, Mais je crois en Dieu avant tout.
Miroir, miroir, ne me cache rien dis moi tout. Moi je m'attends a tout, montre-moi tout. Nos defauts, nos atouts, ici comme partout. Moi je sais peut-etre pas tout, Mais je crois en Dieu avant tout.
Miroir, miroir, ne me cache rien dis moi tout. Moi je m'attends a tout, montre-moi tout. Nos defauts, nos atouts, ici comme partout. Moi je sais peut-etre pas tout, Mais je crois en Dieu avant tout.
(Un creuset de voyous, victimes du systeme, que dieu nous guide. Woy !) (Un creuset de voyous, victimes du systeme, que dieu nous guide. Woy !) (Un creuset de voyous, victimes du systeme, que dieu nous guide. Woy !)
A travers ma voix, tu marche dans ma rue, C'que t'entends c'est c'que tu vois, lyrics tires du marche crue. Ca craint. T'aimerais que j'te chante autr'chose, mais c'est toujours l'meme refrain. Mon frere 400 a l'heure, accroches-toi, y'a plus d'freins. On enfreint tous les lois, juges procureurs, meme les avocats, C'est pas qu'des voyous incarceres, y'a meme des hommes d'etat. Ils ont nique mon bled, rien a foutre de leurs regles, Tout comme leurs filles qui s'font foutre meme en periode de regles. Apres avoir arbitrairement fixe les regles du jeu, Comme dit l'poto kery james, soit tu marche ou c'est l'enjeu. Ils t'envoient a l'ombre pour reflechir si tu chies neuf. L'etat c'est la plus grosse carotte, tu sais c'est tout benef'. Taxe la moitie du salaire miserable de nos parents, Pourtant les aloc' ont du mal a prendre conge une fois par an. J'viens des blocs la ou les darons paient pour ou aller. Ca c'est le rap des familles nombreuses, des meres au foyer. Pourquoi ils peuvent pas comprendre ? Ils ont la mentalite du bled. Leur mode de vie est different du notre, c'est pas d'leur faute. Moi j'suis propre, j'ai un minimum d'education. Mon point d'repere : l'islam, un bon garcon qui a grandit sans son pere. Mon p'tit frere et moi, on a prit l'avion pour v'nir dans c'pays, Pour nos etudes mais l'systeme a fait d'nous, des soldats sans treillis. Le bonheur a ses etages comme la rime. C'est hallucinant. Comme quand t'attends une reponse d'un boss ou brave alors qu'c'est allo c'est moi. Sinon on a les pieds bloques dans la merde, comme dans du ciment. Ceux qui parviennent a s'en sortir passent pour des gens fascinant. Comme des dirigeants, avare et riches d'exigences. Pour nos familles opprimees et accablees c'est desobligeant. Alors ils snobent les familles nobles au rang social eleve, Ils causent avec dedain, insultent enfant mal eleve. Pendant qu'les riches tuent le temps, le temps tue les pauvres. Chez moi on s'contente plus du comptoir, les p'tits ont l'appetit de rafle et de coffre, on risque. Les keufs, deboulent, gyrophares, v n'r, chez moi on s'branche plus sur Sky, en prevention scanner. J'ai des connaissances ils ne savent ni lire, ni ecrire, y'a pas pire, Mais j'vais t'dire, ils prennent des tunes quand t'es en train d'dormir. C'n'est pas pour les vanter, c'qui n'est pas dit n'est pas su. Je fais qu'raconter, la realite, y'a rien d'invente. L'argent aveugle les jeunes, savent plus sur qui ils tirent, Savent plus ou ils en sont, ou ils vont, ne leur parle pas d'avenir. Et quand t'as pas mit de cote, juste pour kiffer etre cote, Les jeunes courent droit vers l'enfer, meme avec un point d'cote, Rien a faire, a part tomber dans l'vice des substances illicites. Une fois les esprits rodes, les bandes tombent en deficit. Ca s'felicite tellement, qu'ca arrive vite aux oreilles d'indics, Qui lui ne tard'ra pas a passer un coup d'fil, en informer les flics. Des lops sont en poste la ou tu reside, pour t'filer, Jusqu'a ton prochain braco a la sortie ils te jettent le filet. Alors c'est soit tu coopere, ou prend la fuite mais faut defourailler. (Avec un putain d'revolver qui risque pas d's'enrailer. Ton coeur bat tellement vite) qu'il peut lacher a tout moment. (Et quand, on t'tire dessus gros) t'oublies tout l'monde, et meme ta maman. Quand tu t'fais epingler, pas d'caresse ou tu t'fais etrangler. A la BRP tu t'fait gonfler jusqu'a ronfler. Au poste, j'ai vu des photos prise en hauteur, Qui dit qu'ton voisin n'est pas un RG, une famille d'inspecteurs. On s'dispute le secteur, entre Rick Hunter, tout fous les psychopathes, t'a Hannibal lecteur. Pose sur l'banc, t'a pas l'air d'un vendeur d'shit ni d'came, Suspect d'etre passe du velo volant grosse caisse, becane. Comment s'passer d'se faire plaisir quand t'a du fric. Ca attire les michtonneuses, une sorte de bite autant qu'les flics. Yeah! L'oisivete est mere de tous les vices. Le vice t'achete, en t'rendant service, en t'donnant du shit, en te f'sant la bise. Ca fait du bien d'flamber, n'importe quand tu peux t'faire plomber. C'qui t'fait trembler t'as plein d'embrouilles en cours, en plus t'as pas d'plan B. Certains sont discrets, d'autres se font r'marquer, c'la jouent durs. Ce sont les meme dont vont soumis des drogues dures. Bref, tu m'ecoutes ? Quand t'as les steurs sur tes cotes, qui t'mettent sur ecoute, Si c'est pas toi dans la cassette ils font en sorte qu'ca coincide. Aux assises, deballent toute ta vie, devant tes potes qui assistent. Y'a des durs qui pleurent d'entendre leur vecu, a l'oral c'est triste. Ton pere degoute, ta mere n'en trouve plus l'sommeil la nuit. Image a elle et l'fatiha pour l'parleur de nuit. Parloirs sauvages, dedicaces a ceux et celles, Qui vont casser la voix, comme Patrick Bruel, Aux generations confondues des ruelles, Bons ou mauvais, crapuleux meme cruels. Pour tous les Vitriaux, tombe a l'epoque du blues, Des racailles font les bom-bom, le sound-system foutait la caille. Les jeunes s'forment du ghetto aux schtars, Normal qu'ils petent un cable, c'est cinq piges de promenade, de mitard. Toujours en r'tard, t'as rate l'bippeur, tout l'monde a un portable. La prison fait d'certains des cons, d'autres des gens respectables. Une fois liberable re belote, dur de s'reinserer. A l'affut d'gros coups un gros somme, premedite avec le SSEM. On est encore a l'age de pierre, on ne peu plus civilise. C'est la guerre du feu version fringues et rases. Trop nerveux, mitho, michto, schizophrene. Trop d'potos ont grandit a Fleury, vieillard freine. Sous l'oeil de successeurs encore mangeur de gateau BN. T'as, a l'ecrit des ecoles, leurs predecesseurs mener leur vie d'boheme. Generation d'BM, braqueurs d'BM, t'es adapte aux rythmes de vie, 9.4 400bpm. (Vitry) Une banlieue parmi tant d'autres. Ici comme chez toi, la paresse gagne du terrain sur l'envie d'changer des notres. On roule sans permis, nique le RMI, on shoot le coeur, t'as pas un rayon d'bonheur dans la zer-mi. Disparait, lache pas l'survet' meme quand c'est glacial, Fait rien d'special, les p'tits s'rechauffent les orteils au centre commercial. On fait l'fort pendant l'juste prix. En fin d'journee s'remet d'sa soiree. H 24 dehors sauf pour cause d'une diarrhee. Le plus triste c'est qu'ca t'fait marrer. Mais pour nos vieux, on vit comme des princes. On rentre pour manger dormir, en gros faut a pinces.
Les jeunes s'fouttent d'leur sante, misent tout dans l'apparence chic, souffrent d'une chique. Les rages de dent soulagees au sky, shit. Gare sur l'parking, monte le son des qu'y'a les flics. Ecoute du ragga-roots a l'ancienne, bouge du pranton deranit silk. Epais tel un sandwich du depot, en manque de calcium, pour s'inscrire au gymnasium. M'faire investire dans un Magnum, pour eduquer les mastocs, avec le mach toc. Meme les mutiles d'guerre nous plaignent et regrettent pas leur epoque. Constate, apres la Gaule, la France, bientot les states, j'accuse l'etat, d'nous avoir mit dans c't'etat.
(Un creuset de voyous, victimes du systeme, que dieu nous guide. Woy !)
Mais faut pas deconner Joue pas au gros bonnet Tu t'feras detrone Faudrait mieux raisonner Non faut pas deconner M'la fait pas tu m'connais N'ai pas l'air etonne On sait que tu t'reconnais Passer sa vie a zoner Racailler, consommer On n'peut pas cautionner T'es pas un exemple a donner
J'ai grandi en banlieue Tu peux lire la routine l'amertume a travers la retine de mes yeux Parmi les victimes du systeme Je suis le narrateur du pourquoi Ces modes de vie on en connais tous le cause mais bon voila quoi ! Faut faire quelque chose pour nos rejetons Et si je t'en parle c'est parce que nos meres ont les jetons Avis a la generation d'moutons dix a la vingtaine Tourne le bouton faites attention message tres important Considere ces informations comme une alerte Toi t'es en pleine formation avant qu'mon pouls soit declare inerte Et m'incombe d't'eviter d'courir droit a ta perte Dans ce monde blesse d'illusions la plaie bien ouverte En plus de la television et l'influence que porte le mauvais exemple Sur l'bitume, l'engrenage est de plus en plus ample Mais qui est l'exemple ? Est-ce celui qui s'instruit s'detruit en sejournant en tole, en faisant du mal a autrui Mais qui est l'exemple ? Celle qui s'instruit s'detruit en pensant qu'a s'divertir d'mecs et d'boite de nuit Eh eh eh eh oh oh oh oh oh !!!!
Mais faut pas deconner Joue pas au gros bonnet Tu t'feras detrone Faudrait mieux raisonner Non faut pas deconner M'la fait pas tu m'connais N'ai pas l'air etonne On sait que tu t'reconnais Passer sa vie a zoner Racailler, consommer On n'peut pas cautionner T'es pas un exemple a donner
Mais qui est l'exemple ? A tous les grands freres, toutes les grandes soeurs Servons d'modele a nos p'tits freres, a nos p'tites soeurs Rohff l'avertisseur J'ai fait des conneries de grande envergure Mais faut bien qu'on change un jour Meme si c'est hyper dur File dans le droit chemin trace ta route ne te retourne pas Chacun sa chance pour certains la roue ne tourne pas Ne fume pas, ne t'saoule pas Pour ta maman et ton avenir va a l'ecole, ne deconne pas Ne traine pas, rien a gratter a part des problemes d'argent sale Et d'embrouilles qui vient et vite t'as la haine La rue n'abrite que des betes feroces comme Alien Crois-en mon experience, je suis la philosophie de la haine Y a pas de destin en commun fille ou garcon Nous sommes les parents de demain (inch'Allah attention) Du bon exemple faut s'identifier, il faut s'mefier du moraliste d'un jour Une fois contamine on devient sourd On t'fait dealer, troquer c'est pas une couverture Combien d'annees dure la vie d'un voyou a moins d'se faire condamner ? On donne des bons conseils aux nouvelles generations Tandis qu'les cons essaient de troubler nos operations Chacune d'mes phrases coute cher, Si j'te raconte de la merde ca peut te couter tres cher J'compte pas passer ma vie sur l'beton, faire des gosses les voir beton, Pour quelques batons, a coups de baton, De respecter les inspecteurs et autres !
Mais faut pas deconner Joue pas au gros bonnet Tu t'feras detrone Faudrait mieux raisonner Non faut pas deconner M'la fait pas tu m'connais N'ai pas l'air etonne On sait que tu t'reconnais Passer sa vie a zoner Racailler, consommer On n'peut pas cautionner T'es pas un exemple a donner
Passer sa vie a zoner Racailler, consommer On n'peut pas cautionner T'es pas un exemple a donner
Mais faut pas deconner Joue pas au gros bonnet Tu t'feras detrone Faudrait mieux raisonner Non faut pas deconner M'la fait pas tu m'connais N'ai pas l'air etonne On sait que tu t'reconnais Passer sa vie a zoner Racailler, consommer On n'peut pas cautionner T'es pas un exemple a donner
J'viens d'en bas et j'dois monter la pente, le bitume j'arpente. L'amertume je chante. Y'a que les tunes qui m'enchantent. Donc 1 pour les teu-che, ici c'est l'talent cache. J'rappe pour les tetes fachees a la jeunesse gachee. Gros c'est Rohff au micro, pour tous les accrocs d'ca, Pour tous les mecs en chien, qu'on les crocs, tient croque ca. Si tu m'connais pas vas-y decouvre, j'suis toujours pas fait d'couv'. Quoi qu'il en soit les auditeurs qui bavent s'y r'trouvent. Avis a tous les mecs et meufs qui sont dans l'mouv', J'nique l'etat et les keufs meme sur un slow ou musique groove. Pour l'moment, t'es dans l'coltard, t'es pensif. Mon son s'empare d'ton esprit, rajoute du bien a ton spliff. L'instant est emotif, monte le son a fond meme si il s'fait tard, Quand monsieur Rohff s'exprime, c'est pas du rap de fetards. Mais d'la musique meurtriere, parc'qu'il y a eu un meurtre hier, La crime tourne dans ma rue, parce que l'meurtre y est hier. Nique ca mere, j'exprime ma rage sur c'son, Comme de l'amour s'exprime cette garce de Veronique Samson. Les jeunes ont besoin d'mes chansons, Parce que mes chants sont assez profond pour soulager la douleur. Pas l'temps d'delirer, l'heure est grave, Rien a foutre d'signer des autographes, j'rappe pour les braves.
[Kery james] : C'est d'la tristesse que tu peux lire dans mes yeux. [Rohff] : Comprends pourquoi j'fais pas d'sentiments. [Kery james] : C'est d'la tristesse que tu peux lire dans mes yeux. [113] : Desenchante quand j'vois une famille fondre en larmes. [Kery james] : C'est d'la tristesse que tu peux lire dans mes yeux. [113] : J's'rais p't'etre jamais frique, mais bon j'ai pas tout perdu. [Kery james] : J'veux pas etre le favori des dingues, ni celui des baltringues, Que dieu m'en soit temoin, j'veux etre celui des gens biens
J'rappe dur, le ton froid, involontairement. A tous les durs qui durent faut s'repentire avant l'enterrement. Meme si on est fait a base de problemes, faut s'faire une raison, J'vais pas m'faire baiser par l'systeme, la rue et ses illusions. Que l'chaytane aille s'faire mettre, j'veux pas etre son avocat. J'rappe honnete. Prends note, mes pensees sont encore nettes. J'vois plus loin que c'que tu vois a ta f'n'etre. Pourquoi hier la vie t'a fait naitre, respect aux freres qui font des rappels, Gagnent des hars, c'est net. Si t'apprecie c'est l'mic. J'decris c'que j'eprouve, ecris c'que j'approuve, Me vide pour mieux remplire c'que j'decouvre. Rien n'va ! Depuis la nuit des temps, l'orgueil fait monter l'ton, Comment refaire le monde sans la machine a remonter l'temps ? Comment la jet-set ce la fombe elle, grave, nous on bave. Ignore la jalousie, si tu t'en sort : Bravo mon brave !
[Kery james] : C'est d'la tristesse que tu peux lire dans mes yeux. [Rohff] : Comprends pourquoi j'fais pas d'sentiments. [Kery james] : C'est d'la tristesse que tu peux lire dans mes yeux. [113] : Desenchante quand j'vois une famille fondre en larmes. [Kery james] : C'est d'la tristesse que tu peux lire dans mes yeux. [113] : J's'rais p't'etre jamais frique, mais bon j'ai pas tout perdu. [Kery james] : J'veux pas etre le favori des dingues, ni celui des baltringues, Que dieu m'en soit temoin, j'veux etre celui des gens biens.
J'rappe pour les braves, les mecs qui cassent jamais les couilles, Qui s'debrouillent, travaillent honnetement, vivent de bracos et d'magouilles, respect ! C'est ca, peu importe ton aspect ! Au point ou on n'en est, on a la gueule du suspect ! Ramene des larcins, mon style vestimentaire a la demarche. On s'demande pourquoi rien n'marche, quand on va faire des demarches. Rien a foutre d'vos manifs, rien qu'tu gueule et qu'tu marche, ca change rien. Ils s'fouttent d'ta gueule et tu marche, ca t'sert a rien. Plus recent s'en sort, meme s'ils dominent faut pas s'laisser faire, Chacun son domaine, persiste dans c'que tu sais faire. N'en fais pas trop gros, fais-toi au bon niveau (Wow !) Maintient la temperature de ton cerveau. Chacun son destin. Trace la route c'est pas l'moment d'se garer, Quitte a etre distant, j'vais pas detourner parler c'est garer.
[Demon One] : J'ai fait d'ma vie un reve, et d'mon reve, une realite. [Rohff] : Comprends pourquoi j'fais pas d'sentiments. [113] : Les coeurs saignent, et les regrets, on s'les partage. [Kery James] : De mes textes, mes oeuvres pleuvent mes larmes et mon sang.
[Demon One] : J'ai fait d'ma vie un reve, et d'mon reve, une realite. [Rohff] : Comprends pourquoi j'fais pas d'sentiments. [113] : Les coeurs saignent, et les regrets, on s'les partage. [Kery James] : De mes textes, mes oeuvres pleuvent mes larmes et mon sang.
[Kery james] : C'est d'la tristesse que tu peux lire dans mes yeux.
Ouais mon gros... On s'en sort, tu m'ecoute plus la... [113] : Desenchante quand j'vois une famille fondre en larmes.
On compte que sur nous, mais sur nous on compte peu hein...
[Kery james] : J'veux pas etre le favori des dingues, ni celui des baltringues, Que dieu m'en soit temoin, j'veux etre celui des gens biens.
He miroir, dans le rap, c'est qui qui dechire ca. Des fois je me pose des questions. Miroir, miroir ne me cache rien dis moi tout. Moi je m'attends a tout, montre-moi tout. Mes defauts mes atouts, ici comme partout. Moi je sais peut etre pas tout mais je crois en Dieu avant tout.
Je sais que la curiosie est un vilain defaut, J'aimerai entrer dans ta peau. Emprunter tes yeux, m'observer un peu. Pour voir ce que tu vois quand tu me croises. Toi qui me cotoies ou qui me toises. Toi qui est au meme titre que moi sur cette terre. Une force d'attraction aussi puissante que l'argent. L'envie d'elucider le mystere, deshabiller le regard des gens. Qui de nos jours insignifiants, Ce masque de larmes, de joie theatrales. Pour ca on libere notre amour que dans le cercle familial. En France comme partout dans le monde. L'homme est ainsi fait et on si fait a la longue; Je capte les ondes bonnes ou mauvaises au coup d'oeil. Si tu la joue froid, couvre-toi, il fait moins cinq a l'acceuil. Je m'adapte meme si des fois ca m'ecoeure. Pour ceux qui prennent un malin plaisir, a mettre leur defauts en valeurs. J'aimerai visiter ton subconscient, m'entendre dans tes oreilles. M'impregnier de ta conscience juste pour voir si ca sonne pareil.
Miroir, miroir, ne me cache rien dis moi tout. Moi je m'attends a tout, montre-moi tout. Nos defauts, nos atouts, ici comme partout. Moi je sais peut-etre pas tout, Mais je crois en Dieu avant tout.
Miroir, miroir, ne me cache rien dis moi tout. Moi je m'attends a tout, montre-moi tout. Nos defauts, nos atouts, ici comme partout. Moi je sais peut-etre pas tout, Mais je crois en Dieu avant tout
J'aimerai comprendre la jalousie puisque chaque chose a une raison. Je me pose des questions qui n'aboutissent qu'a des suppositions. Est ce les faibles d'esprits qui s'abrutrissent de fausses opinions. Par manque de personnalite, un jaloux est touche par ma vie; Oh ! puis non, C'est comme pour le SIDA, pour ca y a pas d'antidote. On se contente dont ce que la nature nous dote. Miroir montre moi ces gens qui cassent du sucre sur notre dos. J'aimerai les surprendre en live pour qu'ils ressentent en eux ces defauts. On leur doit pas de compte, ils se rendent pas compte, c'est des fous. Fais moi apparaitre ces gens qui se disent vrai alors que c'est des faux. Je me mefie des gens, ne negligeant rien,intrinsigeant. C'est comme la Hagra, ca paie mal d'etre tigent C'est bien d'etre sympa, Mais ca profite aux gens qui le sont pas. Les races maudites d'hypocrites, aux sourires que je ne sens pas, Commentent des lapsus revelateurs. Je suis un peu parano, paro face aux compliments flatteurs. He miroir, miroir mais qui dois-je eviter, Hein miroir, mais qui dois-je inviter. Et quand ils nous arrivent un truc bien, est ce qu'on ne l'a pas merite. Donne-moi la cle du tiroir de la verite. Eclaire-moi les fonctions de ces facteurs, pulsions, rires, pleurs. Le coeur qu'abrite l'amour, la haine, la rancoeur. Les sentiments autant sur le plan relationnel qu'intimement. Si on pouvait les controler, on aimerait qui on veut, ca serait de la bombe, non. On anticiperait sur la douleur en etant precurseur. Miroir montre-moi le lieu ou se trouve mon ame soeur. Ca peut paraitre fou, j'aimerai saisir les sens du desir. Du regard au toucher qui t'amene au plaisir. Je trouve ca intransigeant le fait de convoiter. Miroir dis-moi la verite, ne me fais pas miroiter; J'aimerai faire disparaitre la pauvrete, la superiorite; Tous au juste milieu, on aurait plus a s'affronter. Miroir, miroir, au risque que tu te brises. J'aimerai aneantir le pouvoir et la meprise; En reflet incarne le visage du vice, Image. Le precieux regard qu'une mere porte a son fils.
Miroir, miroir, ne me cache rien dis moi tout. Moi je m'attends a tout, montre-moi tout. Nos defauts, nos atouts, ici comme partout. Moi je sais peut-etre pas tout, Mais je crois en Dieu avant tout.
Miroir, miroir, ne me cache rien dis moi tout. Moi je m'attends a tout, montre-moi tout. Nos defauts, nos atouts, ici comme partout. Moi je sais peut-etre pas tout, Mais je crois en Dieu avant tout.
Miroir, miroir, ne me cache rien dis moi tout. Moi je m'attends a tout, montre-moi tout. Nos defauts, nos atouts, ici comme partout. Moi je sais peut-etre pas tout, Mais je crois en Dieu avant tout.
Miroir, miroir, ne me cache rien dis moi tout. Moi je m'attends a tout, montre-moi tout. Nos defauts, nos atouts, ici comme partout. Moi je sais peut-etre pas tout, Mais je crois en Dieu avant tout.
Rap info, et le hardcore monte d'un grade. Rebeu, renoi, gitans venus tout droit de Belgrade. Ca s'degrade a tous les stades, c'est l'esclavage moderne. De nos jours faut des femmes pour monter dans la mi-stade. L'import-export de pute des pays d'l'Est, Benefice net pour des proxenetes egoistes en temps d'sieste. Sachant que d'puis Vincennes a porte Clichy, Ils tapent un black a son mec qui fait clap pour pas etre un ien-cli. Les trav' ont la cote de place Clichy au bois d'Boulogne, Les schlacs ont l'bilan trop crade, sous crac a Stalingrad, S'etant allonge, boulevard Sebastopaul matte-la. Les SDF allonges, sur l'beton leur matelas. En plein hivers de plus en plus de meurtres de viols dans les pages Faits Divers. Depute maire corrompu relax et bien couvert. Dans nos rues les jeunes savent plus s'qu'ils font, Pour 300 sac ca bute sec un convoyeur de fonds. De grosses organisations, tah ! les films d'action sur on fout railler. De quoi faire un coup d'etat, fumer pour railler. Des fourgons Brinks tapes au lance-roquettes Des roquettes aux restos sans licence c'qui s'finissent en rackette. Le taux de violence s'accroit sans convalescence, Les bastos de 9mm, rien qu'ca sent l'essence c'est paro ! Les parrains qui portent un par un des parents, Ignorants qu'leur fiston nettoie l'terrain. Protege tes reins, si t'as choisi l'profil de voyou, Meme les gros bonnets s'fond detroner dans l'biz des machines a sous.
Rap info, vrai ou faux, PPDA ne dit pas tout, c'est chaud comme une info, Que des trucs de fous, rien n'est plus comme autrefois, Pour pas dev'nir fou, faut, garder la foi. Rap info, vrai ou faux, PPDA ne dit pas tout, c'est chaud comme une info, Que des trucs de fous, rien n'est plus comme autrefois, Pour pas dev'nir fou, faut, garder la foi.
J'rap formellement, pas d'serment, t'es un gros PD si tu crois qu'j'mens, sincerement. Rap info : suite des evenements. Toutes les banlieues sont calibrees, comme la suite des evenements. Le gouvernement, arrive au bout d'son avenement. Avec l'ouverture des frontieres, l'arrive d'l'Euro, la garo s'fait remplacer par l'Haya, L'Haya par la coke, la coke par l'hero, Des feuilles on passe a la paille, c'qui arrange ceux qu'aiment pas l'hero. S'ca s'deroule bien, y'auras plus de drogue, des armes, De trafics, de drames, de meurtres, de perpet', de larmes. Meme celle qui nous ont mit au monde s'devergondent, a chaque seconde. On enregistre autant d'pertes que c'perm qui fait condre. C'est chaud c'est d'ja la crise, ca s'corse. Maint'nant t'as des enfants qui t'lavent ton pare-brise de force. Meme mon job faut dire quand j'peux j'donne, sinon casse toi, c'est pas Bangladesh ! Ya du taff au marche, vas braquer sinon bouge toi, comme toi j'suis dans la desh ! Les mains dans les poches en saison seche, Plus d'une corde a mon arc mais du mal a mettre a gauche quelques fleches.
Rap info, vrai ou faux, PPDA ne dit pas tout, c'est chaud comme une info, Que des trucs de fous, rien n'est plus comme autrefois, Pour pas dev'nir fou, faut, garder la foi. Rap info, vrai ou faux, PPDA ne dit pas tout, c'est chaud comme une info, Que des trucs de fous, rien n'est plus comme autrefois, Pour pas dev'nir fou, faut, garder la foi.
Trop d'drames, trop d'peines, generique sirene, c'est la routine, J'suis qu'un bebe qui a survecu la tetine a la titine. Homage aux mesquines, Ibrahim Ali, Malik Housekil, Sans pitie, a trente sur un ilotier ou un skin. Faudrait faire qu'un comme la Coree, tous sinchro comme une chore, On fait vibrer l'peuple, comme l'equipe a Roger. On m'donne des miettes a picorer, j'ai rien dans l'ventre Et tant que les porcs en caisse sont decores alors qu'ils ont rien dans l'ventre. On m'dit d'tolerer l'interdit, d'accepter Freddy Mercury. Que des pur-sang accrocs d'juments dans mon ecurie. Au fur a mesure les jours defilent, l'Chaytane s'faufile, Du monde ecoeure, fumer ces fumiers, pedophile de cure ! C'monde est perverti, infecte, snob, stereotype, extraverti. On venere le peche, pourtant avertis. Les faits reels, qu'j'les dise ou pas ca changera pas. Tu m'crois pas ? Dans dix piges on en r'parle. Inch Allah cette fois-ci, avec des gilets, encore plus J nan ? Carotte au keuf que des J9. J'te parle en plus de carte de sejour, pour les zin-cou du de-ble, Aucun amour pour vos paysage de champs de ble. Ya d'la place d'apres c'que j'ai ret'nu des cours de geo, si c'est pour mettre la pression, On prendre pas la fuite comme Marie-Jo aux JO. Pas l'temps d'delirer, l'heure est grave. C'est important d'resituer, le monde d'encules, Dans l'quel on s'voit obliges, d'evoluer.
Rap info, vrai ou faux, PPDA ne dit pas tout, c'est chaud comme une info, Que des trucs de fous, rien n'est plus comme autrefois, Pour pas dev'nir fou, faut, garder la foi. Rap info, vrai ou faux, PPDA ne dit pas tout, c'est chaud comme une info, Que des trucs de fous, rien n'est plus comme autrefois, Pour pas dev'nir fou, faut, garder la foi. Rap info, vrai ou faux, PPDA ne dit pas tout, c'est chaud comme une info, Que des trucs de fous, rien n'est plus comme autrefois, Pour pas dev'nir fou, faut, garder la foi. Rap info, vrai ou faux, PPDA ne dit pas tout, c'est chaud comme une info, Que des trucs de fous, rien n'est plus comme autrefois, Pour pas dev'nir fou, faut, garder la foi.
(Un creuset de voyous, victimes du systeme, que dieu nous guide. Woy !) (Un creuset de voyous, victimes du systeme, que dieu nous guide. Woy !) (Un creuset de voyous, victimes du systeme, que dieu nous guide. Woy !)
A travers ma voix, tu marche dans ma rue, C'que t'entends c'est c'que tu vois, lyrics tires du marche crue. Ca craint. T'aimerais que j'te chante autr'chose, mais c'est toujours l'meme refrain. Mon frere 400 a l'heure, accroches-toi, y'a plus d'freins. On enfreint tous les lois, juges procureurs, meme les avocats, C'est pas qu'des voyous incarceres, y'a meme des hommes d'etat. Ils ont nique mon bled, rien a foutre de leurs regles, Tout comme leurs filles qui s'font foutre meme en periode de regles. Apres avoir arbitrairement fixe les regles du jeu, Comme dit l'poto kery james, soit tu marche ou c'est l'enjeu. Ils t'envoient a l'ombre pour reflechir si tu chies neuf. L'etat c'est la plus grosse carotte, tu sais c'est tout benef'. Taxe la moitie du salaire miserable de nos parents, Pourtant les aloc' ont du mal a prendre conge une fois par an. J'viens des blocs la ou les darons paient pour ou aller. Ca c'est le rap des familles nombreuses, des meres au foyer. Pourquoi ils peuvent pas comprendre ? Ils ont la mentalite du bled. Leur mode de vie est different du notre, c'est pas d'leur faute. Moi j'suis propre, j'ai un minimum d'education. Mon point d'repere : l'islam, un bon garcon qui a grandit sans son pere. Mon p'tit frere et moi, on a prit l'avion pour v'nir dans c'pays, Pour nos etudes mais l'systeme a fait d'nous, des soldats sans treillis. Le bonheur a ses etages comme la rime. C'est hallucinant. Comme quand t'attends une reponse d'un boss ou brave alors qu'c'est allo c'est moi. Sinon on a les pieds bloques dans la merde, comme dans du ciment. Ceux qui parviennent a s'en sortir passent pour des gens fascinant. Comme des dirigeants, avare et riches d'exigences. Pour nos familles opprimees et accablees c'est desobligeant. Alors ils snobent les familles nobles au rang social eleve, Ils causent avec dedain, insultent enfant mal eleve. Pendant qu'les riches tuent le temps, le temps tue les pauvres. Chez moi on s'contente plus du comptoir, les p'tits ont l'appetit de rafle et de coffre, on risque. Les keufs, deboulent, gyrophares, v n'r, chez moi on s'branche plus sur Sky, en prevention scanner. J'ai des connaissances ils ne savent ni lire, ni ecrire, y'a pas pire, Mais j'vais t'dire, ils prennent des tunes quand t'es en train d'dormir. C'n'est pas pour les vanter, c'qui n'est pas dit n'est pas su. Je fais qu'raconter, la realite, y'a rien d'invente. L'argent aveugle les jeunes, savent plus sur qui ils tirent, Savent plus ou ils en sont, ou ils vont, ne leur parle pas d'avenir. Et quand t'as pas mit de cote, juste pour kiffer etre cote, Les jeunes courent droit vers l'enfer, meme avec un point d'cote, Rien a faire, a part tomber dans l'vice des substances illicites. Une fois les esprits rodes, les bandes tombent en deficit. Ca s'felicite tellement, qu'ca arrive vite aux oreilles d'indics, Qui lui ne tard'ra pas a passer un coup d'fil, en informer les flics. Des lops sont en poste la ou tu reside, pour t'filer, Jusqu'a ton prochain braco a la sortie ils te jettent le filet. Alors c'est soit tu coopere, ou prend la fuite mais faut defourailler. (Avec un putain d'revolver qui risque pas d's'enrailer. Ton coeur bat tellement vite) qu'il peut lacher a tout moment. (Et quand, on t'tire dessus gros) t'oublies tout l'monde, et meme ta maman. Quand tu t'fais epingler, pas d'caresse ou tu t'fais etrangler. A la BRP tu t'fait gonfler jusqu'a ronfler. Au poste, j'ai vu des photos prise en hauteur, Qui dit qu'ton voisin n'est pas un RG, une famille d'inspecteurs. On s'dispute le secteur, entre Rick Hunter, tout fous les psychopathes, t'a Hannibal lecteur. Pose sur l'banc, t'a pas l'air d'un vendeur d'shit ni d'came, Suspect d'etre passe du velo volant grosse caisse, becane. Comment s'passer d'se faire plaisir quand t'a du fric. Ca attire les michtonneuses, une sorte de bite autant qu'les flics. Yeah! L'oisivete est mere de tous les vices. Le vice t'achete, en t'rendant service, en t'donnant du shit, en te f'sant la bise. Ca fait du bien d'flamber, n'importe quand tu peux t'faire plomber. C'qui t'fait trembler t'as plein d'embrouilles en cours, en plus t'as pas d'plan B. Certains sont discrets, d'autres se font r'marquer, c'la jouent durs. Ce sont les meme dont vont soumis des drogues dures. Bref, tu m'ecoutes ? Quand t'as les steurs sur tes cotes, qui t'mettent sur ecoute, Si c'est pas toi dans la cassette ils font en sorte qu'ca coincide. Aux assises, deballent toute ta vie, devant tes potes qui assistent. Y'a des durs qui pleurent d'entendre leur vecu, a l'oral c'est triste. Ton pere degoute, ta mere n'en trouve plus l'sommeil la nuit. Image a elle et l'fatiha pour l'parleur de nuit. Parloirs sauvages, dedicaces a ceux et celles, Qui vont casser la voix, comme Patrick Bruel, Aux generations confondues des ruelles, Bons ou mauvais, crapuleux meme cruels. Pour tous les Vitriaux, tombe a l'epoque du blues, Des racailles font les bom-bom, le sound-system foutait la caille. Les jeunes s'forment du ghetto aux schtars, Normal qu'ils petent un cable, c'est cinq piges de promenade, de mitard. Toujours en r'tard, t'as rate l'bippeur, tout l'monde a un portable. La prison fait d'certains des cons, d'autres des gens respectables. Une fois liberable re belote, dur de s'reinserer. A l'affut d'gros coups un gros somme, premedite avec le SSEM. On est encore a l'age de pierre, on ne peu plus civilise. C'est la guerre du feu version fringues et rases. Trop nerveux, mitho, michto, schizophrene. Trop d'potos ont grandit a Fleury, vieillard freine. Sous l'oeil de successeurs encore mangeur de gateau BN. T'as, a l'ecrit des ecoles, leurs predecesseurs mener leur vie d'boheme. Generation d'BM, braqueurs d'BM, t'es adapte aux rythmes de vie, 9.4 400bpm. (Vitry) Une banlieue parmi tant d'autres. Ici comme chez toi, la paresse gagne du terrain sur l'envie d'changer des notres. On roule sans permis, nique le RMI, on shoot le coeur, t'as pas un rayon d'bonheur dans la zer-mi. Disparait, lache pas l'survet' meme quand c'est glacial, Fait rien d'special, les p'tits s'rechauffent les orteils au centre commercial. On fait l'fort pendant l'juste prix. En fin d'journee s'remet d'sa soiree. H 24 dehors sauf pour cause d'une diarrhee. Le plus triste c'est qu'ca t'fait marrer. Mais pour nos vieux, on vit comme des princes. On rentre pour manger dormir, en gros faut a pinces.
Les jeunes s'fouttent d'leur sante, misent tout dans l'apparence chic, souffrent d'une chique. Les rages de dent soulagees au sky, shit. Gare sur l'parking, monte le son des qu'y'a les flics. Ecoute du ragga-roots a l'ancienne, bouge du pranton deranit silk. Epais tel un sandwich du depot, en manque de calcium, pour s'inscrire au gymnasium. M'faire investire dans un Magnum, pour eduquer les mastocs, avec le mach toc. Meme les mutiles d'guerre nous plaignent et regrettent pas leur epoque. Constate, apres la Gaule, la France, bientot les states, j'accuse l'etat, d'nous avoir mit dans c't'etat.
(Un creuset de voyous, victimes du systeme, que dieu nous guide. Woy !)
(Rohff) Parfois, j'arrive plus a ecrire, y'a rien qui m'inspire, pourtant dans cette vie d'dingue, j'ai tellement d'choses a dire. J'ai du mal, a exprimer, tout c'temps passe a trimer, fils d'immigres ouvriers, familles modestes opprimees. (Parfois) j'glande avec les jeunes de ma bande, y'a rien a gratter, a part tes couilles quand l'matin tu bande. Des fois, j'vais au billard, avec une bombe au cinema, j'vais tirer au stand, avec Nardo et Tima. Quand j'me sens bien impossible de faire du sur-place, pas d'drogue, ni d'alcool, tu r'sens les minutes qui passent. Parfois, j'ai plus d'sous, rien qu'je gamberge, j'ai des problemes, tout l'long d'ma poche, c'est l'hotel qui m'heberge. Des fois ca va mal j'maigris, y'a d'quoi dev'nir barge. Parfois meme j'me perds les plombs, j'prend l'large. J'vais au sport, j'me vide. Des fois, j'suis tout froid, timide, parfois, j'suis chaud bouillant, tout speed.
(J. Mi Sissoko) Parfois, des fois, selon l'humeur du jour l'etat du moral, Qu'arrive le bien ou le mal, j'essaye souvent d'm'evader. (Mais je perds le controle de mon coeur...) Parfois, des fois, selon l'humeur du jour l'etat du moral, Qu'arrive le bien ou le mal, j'essaye souvent d'm'evader. (Mais je perds le controle de mon coeur...)
(Rohff) Parfois, j'ai envie d'rester seul, mon meilleur ami, c'est la solitude. Souvent j'reve de fortune. Des fois j'regrette les etudes. Souvent j'demare au quart de tour, et aucun recours, j'suis comme un fou, mais j'avoue parfois j'me goure. J'fais des virees nocturnes, violant le code de la route, le son a cure, j'vais a crepe avant d'me vider les burnes. Parfois, j'ai besoin d'une lope en express, une ouverture a chaque, comme dit Alix " ca pete ! " Puis j'decompresse, avec l'humour qui nous reste, pour ne s'rais-ce qu'un instant, evacuer l'stress. (Des fois) j'ai le blues, j'suis blase, j'met mon portable sur messagerie, j'ai plus envie d'me raser. (Parfois) j'ai envie d'me caser, d'me casser, retourner dans mon pays, pour m'decrasser, m'purifier l'esprit. Des fois j'songe a arreter l'rap, d'eloigner tous ses mensonges, m'mettre dans l'deal. Une bonne fois pour toutes, j'y pense meme quand j'dine.
(J. Mi Sissoko) Parfois, des fois, selon l'humeur du jour l'etat du moral, Qu'arrive le bien ou le mal, j'essaye souvent d'm'evader. (Mais je perds le controle de mon coeur...) Parfois, des fois, selon l'humeur du jour l'etat du moral, Qu'arrive le bien ou le mal, j'essaye souvent d'm'evader. (Mais je perds le controle de mon coeur...)
(Rohff) Parfois, j'pense a mon pere, j'l'ai pas vu d'puis 83, j'avais 6 piges, aujourd'hui, j'en ai 23. Des fois, y'a des embrouilles qui t'tombe dessus, sois pret a m'jeter d'dans, Quitte a laisser ta peau, une jambe un bras ou tes dents. Parfois, j'suis a pince et j'prend l'taxi. Des fois j'triche, j'recupere c'que l'etat m'a taxe. Parfois, j'sort en boite, evite les sons a repete qu'on s'debecte, Les histoires a s'mettre en cavale, ou prendre la perpet'. J'aime bien danser, mais jamais dans l'exces. C'est pas pour t'vexer, j'rentre en basket la ou t'as pas acces. Oton ouais, K'1 Fry Mafia, ouh wa. Des fois j'ai envie de foutre le darwah, bah ouais. Des fois j'vais faire vibrer l'studio, traumatise l'ingenieur. Des fois j'reve d'avoir un fils d'l'appeler Housni junior, Avec une charmante demoiselle, tellement mignonne, bonne, Qu'un homosexuel craquerais sur elle, kifferait plus les bonhommes.
(J. Mi Sissoko) Parfois, des fois, selon l'humeur du jour l'etat du moral, Qu'arrive le bien ou le mal, j'essaye souvent d'm'evader. (Mais je perds le controle de mon coeur...) Parfois, des fois, selon l'humeur du jour l'etat du moral, Qu'arrive le bien ou le mal, j'essaye souvent d'm'evader. (Mais je perds le controle de mon coeur...)
(J. Mi Sissoko) Parfois, des fois, selon l'humeur du jour l'etat du moral, Qu'arrive le bien ou le mal, j'essaye souvent d'm'evader. (Mais je perds le controle de mon coeur...) Parfois, des fois, selon l'humeur du jour l'etat du moral, Qu'arrive le bien ou le mal, j'essaye souvent d'm'evader. (Mais je perds le controle de mon coeur...)
(J. Mi Sissoko) Parfois, des fois, selon l'humeur du jour l'etat du moral, Qu'arrive le bien ou le mal, j'essaye souvent d'm'evader. (Mais je perds le controle de mon coeur...) Parfois, des fois, selon l'humeur du jour l'etat du moral, Qu'arrive le bien ou le mal, j'essaye souvent d'm'evader. (Mais je perds le controle de mon coeur...)
(Bonsoir un peu a tous ceux qui m'ecoutent la. Nique la police ! Nique la justice, nique tous les juges, procureurs ! Nique le RG ! Nique le SRPG, les flics ! Nique la BAC ! Nique les SES ! Nique la BRP, la police des polices ! Nique la...) V... V... (On cherche un individu de type blanc, Qui nous a fait passer pour des extra-terrestres, Et en plus il dit qu'il nous encule !) V... V... V... V... V... V...
On n'arrache pas les sacoches des vieux en retraite, On est des plus pour les recettes, je rentre dans l'magasin pris en traitre. Pourquoi on nous maltraite ? Parce qu'on r'fuse de s'soumettre. Ne a la r'pi ils m'ont pas fait naitre, moi je r'fait mon mal net. J'ai paye 7 milles balles net, grace a l'etat un taff Mais pas reconnaissant du maire et des baffes. J'suis pas une epave, j'dirais meme plus tard, j'ai mes femmes, J'ai pas grandit dans l'epave, deux personnes j'arrache. Quand tu m'adresse la parole, ne m'agresse pas, t'as la terreur, T'es mal tombe moi j'pleur de rire quand j'mate un film d'horreur. C'est a l'ecole de police que t'as eu ton bre-V, Moi c'est l'ecole du vice, madame la rue qui a tape mon c-V. Messieurs les ghettos sont engages a vie, Mais dans la vie faut monter des marches, J'ai l'droit d'avoir mon caractere, ma demarche. Fais-pas chier. A force de m'hagar, tu va finir par m'coucher, Aussitot renforts, balayette, a plat-ventre les gourmettes. Les mecs tires petes, arcades, chicos petes, K'1 Fry j'm'en suis rel-V, flics stupides, stupefait. Devant la barge j'ai trop parut amoche, mon certificat medical disparait, Il m'parle d'un monde pour lui des jours du TT.
V... 7000 balles de salaire, le futon en l'air, inscrit " nique la police " devant comme derriere. (Nous sommes la resistance, aussi brave que Mike Donovan, K'1 Fry dans les ghettos d'France, gitans dans les caravanes.) V... 7000 balles de salaire, 306 pour navette, commissariat leur vaisseau-mere. (Nous sommes la resistance, aussi brave que Mike Donovan, K'1 Fry dans les ghettos d'France, gitans dans les caravanes.)
Quand j'entends les gyrophares j'suis paro, quand j'les vois arri-V dans mon retro (V...), rien a me reprocher pas question d'me sau-V. Enleves ta torche, tu veux dilater mes pupilles ou quoi ! C'est pas des vitres teintees. La main sur l'tar-pe, 38, ton grand laser va t'defoncer. C'te grosse truie qui ressemble a une truite, elle a l'air ener-V, Ca doit faire un bail qu'elle s'est pas fait taper l'V, a cause de ca j'vais p't'etre aller en GAV. La ou m'attend une grosse crotte, au terminal, c'est Romeo, poska, hotel, double fausse crotte. Le chef de poste veut m'faire passer pour un con, moi j'rigole, j'le fous en rogne, Jusqu'a c'que les flics s'en melent, monde d'ivrogne. Mais pas serres a bloc, se montre semblant. J'ai mon front, mes tibias pour faire front, j'fais pas semblant. Sanglant ! Trop marrant l'action du JJ, des baffes dans l'ventre, l'action j'suis futil. Moi j'joue la victime innocente dans les oppositions, J'mythonne trop bien dans les depositions, ils n'peuvent que m'croire. Nique les poukhaves ! J'me d'mande comment ils font pour s'regarder dans l'miroir. V'la les menaces d'incarceration, faut qu'j'passe a table. Si j'dois y aller, j'irais, vas-y, dit au magistrat qu'il accouche. V... 7000 balles de salaire, le futon en l'air, inscrit " nique la police " devant comme derriere. V... 7000 balles de salaire, le futon en l'air, inscrit " nique la police " devant comme...
C'est tout un art d'endormir un keuf pendant un controle, Surtout quand t'as un truc dans la voiture, t'as une tete de ouf, cafouille. A tous les momes qui r'coivent aux molards les kepis, d'une embrouille, Me mette a poil, pas moyen d'me faire tousser accroupis. Ecoeure a la vue d'un schtard, j'reconnais un flic en civil comme j'reconnais un trav' dans la ville. J'en suis vert de rage comme l'arriere peau d'un lezard, P't'etre que j'big-louche, pourquoi j'suis crame moi, j'suis bizarre ? D'autant plus qu'les lois, les articles, j'les enfreins. J'vois rouge comme la fra, comme Manolo du carre. Les flics nous ont toujours marque, Sauf le jour ou Victor s'est demarque et a r'marquer l'envie d'tordre. Un black et un beurre nous mack et quand ils sentent qu'on a pas peur Ils nous provoquent pour nous embarquer. As-tu r'marque ? Toute cette haine, c'mepris, Tout c'qui nous rend aigris, en plus des soucis qui font qu'on a maigri. Meme si j'ai une fille j'm'en fiche : j'm'entends bien avec les animaux sauf les porcs !
Dans la police j'ai aucun amis, c'est vrai qu'il en faut mais la plus part sont pourris. Pour les couches-tards, c'est chaud d'trainer le nuit. Babylones aux retros, ca sent les ennuis. Dans la police j'ai aucun amis, c'est vrai qu'il en faut mais la plus part sont pourris. Pour les couches-tards, c'est chaud d'trainer la nuit. Babylones aux retros, ca sent les ennuis.
V... 7000 balles de salaire, le futon en l'air, inscrit " nique la police " devant comme derriere. (Nous sommes la resistance, aussi brave que Mike Donovan, K'1 Fry dans les ghettos d'France, gitans dans les caravanes.) V... 7000 balles de salaire, 306 pour navette, commissariat leur vaisseau-mere. (Nous sommes la resistance, aussi brave que Mike Donovan, K'1 Fry dans les ghettos d'France, gitans dans les caravanes.) V... 7000 balles de salaire, le futon en l'air, inscrit " nique la police " devant comme derriere. (Nous sommes la resistance, aussi brave que Mike Donovan, K'1 Fry dans les ghettos d'France, gitans dans les caravanes.) V... 7000 balles de salaire, le futon en l'air, inscrit " nique la police " devant comme derriere. (Nous sommes la resistance, aussi brave que Mike Donovan, K'1 Fry dans les ghettos d'France, gitans dans les caravanes.)
Le SSEM, la rage qui fait vibrer mes narines, caractere de hyenes, Stock la rime, tellement qu'on a la haine, le SSEM, des qu'j'me leve le matin, Parait qu'c'est stress, le vice qu'assombrit mon r'gard, qu'agresse le voisin, Tout c'qu'on encaisse, tout c'qui nous vexe, nos complexes, ces choses qu'on dit pas, Comme quand tu flippe tu t'masturbe le sexe, le SSEM, cette nuit j'ai surpris un jeune sniffer un rail, C'est mort violente, j'vais vous faire mal au ventre si j'rentre dans les details, Le SSEM, quand on perd un proche, c'est si moche qu'on met du temps a realiser qu'c'est pas du cinoche, Le SSEM d'un braqueur en cavale qui s'rend pas, Voit a la perquise ses fils de pute qui veulent entrer dans la chambre des rent-pa, Le SSEM, quand le fisc te confisque plus d'la moitie d'ton pognon, Et qu'ces batards du civ veulent saisir la tele du salon, c'est avoir le p'tit frelon et les potos enfermes, Le SSEM, quand la mama pleure, qui sent l'etau s'refermer, le SSEM, J'dois rien a personne, j'me demerde, le public des qu'j'ai appris a marcher tout seul j'l'emmerde, La jalousie, j'creve le mauvais oeil, j'suis seul, comme au jugement dernier, J'suis dans l'coma au seuil de la mort, c'est l'SSEM quand tu maitrises plus ton corps, Comme des coups d'feu, l'SSEM va accelerer les battements d'ton coeur...
Tout l'monde ressent le SSEM, c'est la somme des sensations que le coeur consomme, Mais l'adition de nos peines et nos joies assomment, comprendre pourquoi, Seul le SSEM nous fait perdre le somme. Je dis que tout l'monde ressent le SSEM, C'est la somme des sensations que le coeur consomme, Mais l'adition de nos peines et nos joies assomment, comprendre pourquoi, Seul le SSEM nous fait perdre le somme.
Meme si nos gamberges divergent, avec le SSEM ton insensibilite j'devierge, Tout c'qui nous arrive est predestine, sur ce j'decris le SSEM dans toutes ces formes, Quand l'fond prend forme, le SSEM de tout homme, toute femme qu'on enferme en taule, Le SSEM des favelas dans les bidons-villes qui dorment dans des maisons d'taules, Le SSEM dans nos yeux, l'instinct d'felin, j'te parle meme pas du SSEM du SSEM des orphelins. (Le SSEM) des infirmes, trisomiques handicapes, et tous les gens normalement constitues, Le SSEM des gens qu'ont fini par se tuer, peut-etre pas par lach'te, qui sait, n'arrivaient pas a situer, Le SSEM des sourds-muets aveugles, qui tiennent le coup, J'admire vot'courage, pour moi vous etes plus forts que nous, La mamadou lala yarmoulsh Allah au paradis, et tous les momes qui sont partis d'une incurable maladie, Le SSEM d'une veuve, d'une femme violee ou d'l'enfant seul traumatise dans sa piaule, Un chien qu'aboie, un chat qui miaule, la somme des SSEM pour un bebe qui vient d'naitre, Qui crie pleure, la somme des SSEM d'un psychiatre, d'un dur qui pleure, Et rien qu'des disputes de famille, c'est l'SSEM, quand t'es a la rue, qu'tu dors sur le palier, Dans les escaliers ou dans la cave, tout va mal, et tout s'aggrave, Le SSEM d'un banlieusard qui s'focalise que sur le ghettos, vit d'embrouilles, de fusillades, Et d'bastos qui t'rattrapent, le SSEM d'un fugitif quand les condes l'attrapent, Le SSEM pour un ami sur qui on peut jamais compter, quand t'as des problemes, Tu peux pas forcer les gens a avoir d'la bonte, ne compte que sur toi-meme, Les hommes qu'ont trahi ta confiance, la somme des SSEM d'la nature de l'homme, Le SSEM quand t'es fou amoureux d'un etre, et qu'il t'aime pas, pour un garcon qui dit " je t'aime " a sa mere, Une fille pour son papa, le SSEM des atmospheres d'enterrements, c'est l'chant des cim'tieres, Excusez-moi d'vous rappeler qu'on vit pas eternellement, le SSEM ou m'mene mon stylo, Toucher l'fond du profond des choses, dues aux causes du mode de vie qu'on nous impose, Ce theme est personnel, j'devoile la moitie de c'que mon coeur cache sous son aile :
L'amour, le fun, la rage, la haine, les sensations l'emotion, et quand on additionne, Ca donne, l'orage, qui recouvre le sun, en somme, le SSEM, le SSEM, L'amour le fun, la rage, la haine, les sensations l'emotion, et quand on additionne, Ca donne, l'orage, qui recouvre le sun, en somme, le SSEM, le SSEM.
Tout l'monde ressent le SSEM, C'est la somme des sensations que le coeur consomme, Mais l'adition de nos peines et nos joies assomment, Comprendre pourquoi, seul le SSEM nous fait perdre le somme. Je dis que tout l'monde ressent le SSEM, C'est la somme des sensations que le coeur consomme, Mais l'adition de nos peines et nos joies assomment, Comprendre pourquoi, seul le SSEM nous fait perdre le somme.
Six millions d'facon d'mourir, s'pourrir s'nourrir. Plaisir empoisonne par l'diable en train d'sourire a notr'malheur. L'homme succombe aux tentations, en jouant a la course contre la montre, Avec la mort, toujours a l'heure pour nous rattraper. C'est comme cet inspecteur qui cherche plus a t'flinguer qu'a t'attraper, Ou cet homme, cette femme affranchis, que sans preservatif, le SIDA ils peuvent l'attraper. Mais l'desir, la chair l'emporte c'est instinctif, sans capote, C'est comme tremper son zgeg dans un plat d'nouilles, C'est comme braquer sans cagoule, meme les balles ont leurs douilles. Eviter les situations, c'est mon seul point d'chute. Pourtant j'ai l'amour du risque autant qu'ces hommes qui sautent dans l'vide en parachute. Pour l'elastique, c'est croque, c'est fantastique, L'inconvenient, ca tient qu'a un fil, ca craque, c'est comme le plastique. Le resultat est l'meme, pourtant je sens qu'elle m'aime autant qu'mon pote a qui ma mere ouvre la porte, Qui m'engrene, la mauvaise graine est parmi nous-tous. C'est lacher une bete de plante quand elle pousse. Rien qu'on s'pousse, au bord de la y'a pas de pousses. Donc gela. Baisse jamais la garde, fait jamais machine arriere, Regarde autour de toi gros, proteges tes arrieres !
(C'est l'jeu d'la mort...) Capable de tout pour peser, juste pour le coup sans capote va baiser. (C'est l'jeu d'la mort...) On est tous exposes, on nargue le risque jusqu'a la mort on veut tous imposer.
Les sensations forte qui n'ont pas froid aux yeux, Les amateurs d'roulette russe qui s'buttent sous tes yeux, Les momes qui jouent dans les ch'mins d'fer, passent sous les trains, S'accroche entre deux wagons, ouvrant la portiere a 120. Quand la mort passe elle envoie pas d'fax, C'est plutot une info qu'une intox, qu'tu sois une nympho ou un tox'. J'ecris des lignes et des lignes pour mon peuple la bonne cause Tandis qu'toi sniffe des lignes et des lignes comme des aveugles, jusqu'a l'overdose. Tu soumets ton corps a des experiences chimiques, Dev'nu un vrai laboratoire, avec sa dope, ca s'pique. Rien a dire la drogue dure t'as pris un saut d'haut. Quand t'es en manque, tu transpire comme si on t'a verse un seau d'eau. Chacun son sang ses problemes, t'es pas au bout d'tes peines, Tout l'temps dans les vap' de cach'ton quand tu purge une peine. Se flight line, nos tueries, nos coeurs a la picouze. Quand tu gauche-droite un schlag attention aux ouvertures d'bagouze. Tu veux savoir c'que t'reserve la drogue, ecoute " reservoir drogue ", Les cuirs s'ramolissent de morphine. T'handicap a cause des films comme " Scarface ", " Perfection ", " Las Vegas parano " version chaud-biz ca fait fashion. Si t'es pas tombe dans l'vice t'es fixe, d'mande a ceux qui picravent la mort, T'sais qu'c'est, t'sais qu'c'est.
(C'est l'jeu d'la mort...) Capable de tout pour peser, juste pour le coup sans capote va baiser. (C'est l'jeu d'la mort...) On est tous exposes, on nargue le risque jusqu'a la mort on veut tous imposer.
(C'est l'jeu d'la mort...) Capable de tout pour peser, juste pour le coup sans capote va baiser. (C'est l'jeu d'la mort...) On est tous exposes, on nargue le risque jusqu'a la mort on veut tous imposer.
VR6, V6, S3, M3, M5. Seules les baltringues portent la ceinture, ralentissent en solo a 5. C'est pas la voiture qui roule vite, c'est l'mec qu'est speed. Meme Ayrton Senat a fini par s'dechirer dans son bolide. On a beau s'dire qu'a souhaiter bonhomme solide. T'as p't'etre un proche tue en cylindree ou dev'nu invalide, les meilleurs pilotes se sont croutes. C'est pas la roue qui a creve. Sans jamais douter, y'a rien a prouver. J'm'en bats les couilles d'c'que t'as dans la culotte, agent en hard pote, Quand tu pilote, en ecoutant ma prod' tu t'decalotte. Sans compter ses batards de Schmidt en motards qui t'pousse a la faute, Dont les poursuites t'emmenent dans l'decor. Ou qu'tu finisses dans les roses, a cause d'un gamtar, Qu'un passager est mort, apres l'heure c'trop tard. Ramasses tes r'mords, avec ta conscience, sur l'fil de la vie tu te balance, Ses p'tites salopes qui sans vergogne te balancent. Ces p'tites pedales qui parlent dans leur bar comme Corbieres. Les mecs pas reglos font des pare et defourailles. Soit avancer du shit, ou mets du temps a payer. J'trime dans ton dos en face, s'mettent a begayer. Tu joue au jeu d'la mort, quand tu r'garde d'travers, Insulte une mere, on controle plus les nerfs. Attention aux chiennes qui t'envois t'mettre dans un sale petrin, Pour pas s'salir les mains, on peut payer quelqu'un.
(C'est l'jeu d'la mort...) Capable de tout pour peser, juste pour le coup sans capote va baiser. (C'est l'jeu d'la mort...) On est tous exposes, on nargue le risque jusqu'a la mort on veut tous imposer.
(C'est l'jeu d'la mort...) Capable de tout pour peser, juste pour le coup sans capote va baiser. (C'est l'jeu d'la mort...) On est tous exposes, on nargue le risque jusqu'a la mort on veut tous imposer.
Tiwony : "Africa" AP, Max, Manu Key, OGB, Mista, Popa, Rim-K, Mokobe, Karlito, tout l'monde. Rohff. All and side Tiwony. Now, le bitume s'met a chanter avec la Mafia k'1 Fry. All and side Tiwony. Oubadonn, oubadonn, yo yo, donne ! New style, ragga style, original style, c'est pa gonn ca ya sound boy. Yo. New style, Mafia k'1 Fry, original style. On fuit les babylones des ambulance, yo !
Mamad : Ta poisse a la classe, tous en place, c'est banlieue sud, C'est 9.4, Rohff, Mafia K'1 Fry, moi-meme. La coupe est pleine. De bart des barrettes a 20 euros, 200g sur ta conso, Le bitume chante, c'est violent comme la voix du ghetto. Les mangeurs d'hommes connaissent les risques et les vices, Les enjeux sont importants (importants) donc faut les gens importants (importants). Excusez, nous sommes plus ruses que vous. Les jeunes du ghetto progressent, de guide au Demilune zoo.
Dry : Sur mon dos je sens les RG, je sors de mon QG, le Demilune zoo, le seul a venger. Du rap j'eclate les portes. Fait swinguer, bitume, ma dette, tueurs et potes. Ici mes freres aiment tous le danger (le danger), P38 charge (charge). Cagoules (cagoules), songeant a decharger. Les barges et, mon equipe en marche j'ai, attire les braves et les faux voudrait qu'on gage-de. Authentiques soldats K'1 Fry qui veulent a tout prix, eviter par la justice d'etre repris. On bosse au C4, tu vise, on ne fait meme mat. Que la Mafia f'rait chanter les murs du 9.4 !
AP : Hey gros, c'est l'chant des grosses caisses, Banlieue sud, transaction d'drogue, Cachet d'sexe, sombre attitude. Tous prets au cran mon grand, la ou ca craint mon gros, Entre les hauts et les bas, sans savoir ou aller. Depuis l'epoque mon gars, ou j'me suis mit a pe-ra, Du " wesh wesh cousin ! " au " K'1 Fry style Mafia ! " 9.4 le bitume chante ca c'est l'equipe, Honneur aux desenchantes gros, ca vient des tripes. Nous ici on brule les pistes, mon pote c'est par principe, Lyrics explicites oblige, ca c'est notre prestige. Et v'la plus de dix piges qu'on fait chanter nos ghetto, AP pour le 113, et un gros bom ! pour mes rivaux.
Tiwony : Ouais ! Nos voix resonnent sur le microphone comme un gunshot. On chante comme mis au fixe comme jeunes MC ca t'choque. Imagine now, Le bitume qui s'met a chanter, c'est notre hymne, pour qu'dans les ghetto y'ai l'progres. Nos voix resonnent sur le microphone comme un gunshot. On chante comme mis au fixe comme jeunes MC ca t'choque. Imagine now, le bitume qui s'met a chanter, la ly la l'hymne, Pour qu'dans les ghetto y'ai l'progres.
Mista Flo : Hey, reconnait ma voix a travers les portes d'barreaux d'fenetres, Cours de prom'nade, Mista Flo. Lyrics grenade. J'veux t'voir tourner, yeah man, c'est l'bitume qui s'met a chanter. Fait bouger les bolos', sac d'os, colosses. Moi et les miens, unis, dans ce monde atroce. On met l'paquet (met l'paquet), meme si on pe-cu, c'est pas fait expres. C'est tout droit dans l'cul.
OGB : C'est nous qui apportons quelqu'chose au rap, et surtout pas l'inverse, Si c'est bitume qui fait lascar, c'est que Mafia K'1 Fry bouleverse. Moi c'est OGB, Comme c'batiment B, qu'affecte ta vie. T'as vu, j'm'instale d'vant chez toi pour gacher ta vue. C'est l'accoutumance qui fait l'bitumeur, qui cree des rumeurs, De nouveaux rimeurs, des esprits dealer (OGB dis-leur !) Le bitume c'est Mafia k'1 Fry telle qu'on l'apercoit, C'est un groupe de batiments qu'tu croise quand tu nous apercois. On aime tellement l'bitume que les rues devraient porter nos blases d'artistes, On revele en quelque sorte le rap a lui-meme, c'est triste ! Appels nous quartier defavorise, ghetto, zone sensible, Aux rimes originales hardcore flow fluide, influence et weed !
Rim-K : Mon equipe, K'1 Fry Mafia street, avec mon man now mahia. Mon district c'est Rim-K. Langage de bonhomme pour ceux qui r'viennent, pas d'mises a l'amende qui tiennent. Le bitume chante, pas de Mafia Style Shella ! Tu connais l'hymne de l'equipe, Aussi violent qu'un coup d'machette d'un rasta dans l'dos en Jamaique. Mafia d'Afrique, des ghettos laiques, laisse les mytho stoique. Le bitume chante des histoires heroiques. C'est l'ABS, celebre, calibre, bien membre. On vient t'faire vibrer, trembler. C'est l'bitume qui s'met a chanter. Chantez avant qu'nos fils s'mettent a chanter.
Tiwony : Pool ! Nos voix resonnent sur le microphone comme un gunshot. On chante comme mis au fixe comme jeunes MC ca t'choque. Imagine now, Le bitume qui s'met a chanter, c'est notre hymne, pour qu'dans les ghetto y'ai l'progres.
Manu Key : Soldat, l'equipe vient mettre ca au top. On t'ment on vient, on t'fait la barbe comme ZZ Top. Y'a pas qu'l'oseille, y'a plein d'trucs qui m'tentent, nos jours, Les rattes, c'est l'bitume chante. 9.4, viens ou les apparts sont compacts. Pas d'contacts avec la commere de l'OPAP. Puisqu'on est libre, faut qu'on vive, le combat qu'on livre, faut l'suivre. Dans nos rimes y'a d'l'amour, y'a d'la haine, y'a d'la rage, normal. C'est l'ghetto yout a tout age. Faut pas qu'l'etau et l'etat s'ressert sur nous comme un zook love. Faut pas lacher l'feu, faut qu'on innove.
Demon One : Mais y'aura deux place c'est Demon One qu'est de retour d'la K'1 fry mafia. J'ai a mon compteur autant de KO que de combats. Un des soldats au crane ze-ra, bicot et renoi de preference a l'esprit malfrat. Nombreux sont des lascars qui s'croient dans " menace " ou " society ", Mais meme se servir d'interprete quand il faut sauver ca vie. C'est l'bitume qui chante avec les tripes en toute harmonie, Rebeu fait moi plaisir arrete le rafia d'la RMI.
Karlito : Le bitume chante, rancune, courage, amertume, Parolier du macadam, retranscrit les couleurs, l'humeur d'la rue. Le rap cogne dur, comme un parpaing dans ta tete, regardes les durs ! L'brouillard d'l'av'nue faut pas test Project, Pendant qu'a chaque carrefour les cameras nous guettent. En govage, bou seul. Boomer, Mafia K'1 Fry dans la tete. Les keufs veulent test et faire trembler mes batiments. Mais j'ai trop d'appartements, ca c'est l'chant du 9.4 mon departement.
Mokobe : J'suis a deux-dix a mon compteurs spliff, fautif comme une bastos. Un VR6, le moteur siffle, mon avenue c'est l'couloir d'la mort : Vitry. Histoire de drogue ou d'fele qui sort les outils. Wariors, rap local, le bitume rale, hemdek. J'ai un spliff et un gun charge comme un 504 break. Postiche a mort, comme dans " Point break ", le loyer c'est 30 barrettes, ou c'est betonne a mort. Carnivore pas rasta man, t'as ton blase au terminal d'police. 9.4, ou ca s'termine mal. Alcoolique, voleur, braqueur, a 16 piges le premier brolic, voyou, branleur.
Rohff (Tiwony) : J'viens tester. Aucun rappeur m'fait bisquer. Agent au cas ou, mes potes tombent KO sous whisky. J'suis bien entoure, jusqu'a la mort, comme Las Na Toure. Entre ma haine et ma rage, y'a d'l'amour, et ca d'puis marmot. Les messieurs ont les larmes aux yeux parc'que c'est nous qu'on l'a tue. Dans la France c'est y'a l'amour gratuit. Violence perpetree quand mon ssem s'instaure sur l'transistor. Les imposteurs petrifies d'nos histoires. C'est nous qu'on baise les star, baise les s'ster, baisse les stores, c'est hardcore Lester. Hey, pardon, j'suis chaud fumant, mon feu est hardant, Nique les harki mangeurs de pates aux lardons. J'gamberge comme un 3.5.7, c'est pour un 187 flow. De ceux qui s'torchent d'la main gauche et d'l'autre. C'est l'bitume qui s'met a chanter, vu qu'tout repose sur lui : Nos HLM, nos appuis, nos Renault 5, nos CBR, nos BW's. (Ya gaya gayo ! L'bitume qui chante !) Dangereus'ment on manie les mots, a l'unanime et du ghetto. Meurtrier anonyme, anime au mic, c'est l'bitume qui s'met a chanter. Leve les bras. Mon micro a un canon scie incorpore, tah' cobra. Mon son t'surine, j'arrache le sol, j'fais du boucan. J'suis un 44 qui s'exprime dans un parking, ca decoiffe comme Dong King. Y'a pas d'combat, sale batard va, j'te fais un string avec les cordes du ring...