Parlez-moi d'amour, Redîtes-moi des choses tendres. Votre beau discours, Mon coeur n'est pas las de l'entendre. Pourvu que toujours Vous répétiez ces mots suprêmes: Je vous aime
(1) Vous savez bien Que dans le fond je n'en crois rien Mais cependant je veux encore Écouter ce mot que j'adore. Votre voix aux sons caressants Qui le murmure en frémissant Me berce de sa belle histoire Et malgré moi je veux y croire.
(2) Il est si doux, Mon cher trésor, d'être un peu fou. La vie est parfois trop amère Si l'on ne croit pas aux chimères. Le chagrin est vite apaisé Et se console d'un baiser. Du coeur on guérit la blessure Par un serment qui le rassure.
Parlez-moi d'amour, Redîtes-moi des choses tendres. Votre beau discours, Mon coeur n'est pas las de l'entendre. Pourvu que toujours Vous répétiez ces mots suprêmes: Je vous aime
(1) Vous savez bien Que dans le fond je n'en crois rien Mais cependant je veux encore Écouter ce mot que j'adore. Votre voix aux sons caressants Qui le murmure en frémissant Me berce de sa belle histoire Et malgré moi je veux y croire.
(2) Il est si doux, Mon cher trésor, d'être un peu fou. La vie est parfois trop amère Si l'on ne croit pas aux chimères. Le chagrin est vite apaisé Et se console d'un baiser. Du coeur on guérit la blessure Par un serment qui le rassure.
Parlez-moi d'amour, Redîtes-moi des choses tendres. Votre beau discours, Mon coeur n'est pas las de l'entendre. Pourvu que toujours Vous répétiez ces mots suprêmes: Je vous aime
(1) Vous savez bien Que dans le fond je n'en crois rien Mais cependant je veux encore Écouter ce mot que j'adore. Votre voix aux sons caressants Qui le murmure en frémissant Me berce de sa belle histoire Et malgré moi je veux y croire.
(2) Il est si doux, Mon cher trésor, d'être un peu fou. La vie est parfois trop amère Si l'on ne croit pas aux chimères. Le chagrin est vite apaisé Et se console d'un baiser. Du coeur on guérit la blessure Par un serment qui le rassure.
Tout en haut de la ville Depuis trois ans deja je vis Il n'est pas grand mon domicile Mais de ma fenetre on voit Paris, Et le soir lorsque tout s'eclaire On n'a pas besoin de bougies Il fait comme ca bien assez clair Et ca fait des economies...
Venez donc chez moi je vous invite Y a d'la joie chez moi c'est merveilleux A cote des etoiles j'habite a deux pas du ciel toujours bleu J'attendrai chez moi votre visite La haut sous les toits dans mon logis Tous les jours je recois venez, venez vite, C'est gentil chez moi, venez-y...
Ce serait preferable Si en hiver c'etait chauffe Et vraiment bien plus agreable Si c'etait plus frais en ete... Pour entrer faut baisser la tete Il faut s'asseoir a l'interieur Mais on peut s'y conter fleurette Et ca suffit a mon bonheur...
Venez donc chez moi je vous invite Y a d'la joie chez moi c'est merveilleux Il ne faut surtout pas qu'on hesite L'escalier n'est pas dangereux Le tapis est beau jusqu'au deuxieme Si on monte plus haut plus de tapis Mais allez tout droit montez au sixieme C'est gentil chez moi, montez-y...
Il faut que je ramene Un jour bientot l'amour chez moi Car j'ai la-haut bien trop de peine A vivre tout seul sous mon toit Je lui dirai "viens voir la vue De ma fenetre elle est bien mieux" Quand il (elle) aura bien vu la rue, Je lui ferai fermer les yeux...
C'est gentil chez moi je vous invite Vous serez pour moi le seul ami Nous n'aurons plus jamais de visite A la porte tous les ennuis Nous serons heureux dans mon sixieme Il y a place pour deux dans mon logis On comptera les fois ou nous dirons "je t'aime" Es-tu bien chez moi ! Restons-y ...
Parlez-moi d'amour, Redîtes-moi des choses tendres. Votre beau discours, Mon coeur n'est pas las de l'entendre. Pourvu que toujours Vous répétiez ces mots suprêmes: Je vous aime
(1) Vous savez bien Que dans le fond je n'en crois rien Mais cependant je veux encore Écouter ce mot que j'adore. Votre voix aux sons caressants Qui le murmure en frémissant Me berce de sa belle histoire Et malgré moi je veux y croire.
(2) Il est si doux, Mon cher trésor, d'être un peu fou. La vie est parfois trop amère Si l'on ne croit pas aux chimères. Le chagrin est vite apaisé Et se console d'un baiser. Du coeur on guérit la blessure Par un serment qui le rassure.
Parlez-moi d'amour, Redîtes-moi des choses tendres. Votre beau discours, Mon coeur n'est pas las de l'entendre. Pourvu que toujours Vous répétiez ces mots suprêmes: Je vous aime
(1) Vous savez bien Que dans le fond je n'en crois rien Mais cependant je veux encore Écouter ce mot que j'adore. Votre voix aux sons caressants Qui le murmure en frémissant Me berce de sa belle histoire Et malgré moi je veux y croire.
(2) Il est si doux, Mon cher trésor, d'être un peu fou. La vie est parfois trop amère Si l'on ne croit pas aux chimères. Le chagrin est vite apaisé Et se console d'un baiser. Du coeur on guérit la blessure Par un serment qui le rassure.
Parlez-moi d'amour, Redîtes-moi des choses tendres. Votre beau discours, Mon coeur n'est pas las de l'entendre. Pourvu que toujours Vous répétiez ces mots suprêmes: Je vous aime
(1) Vous savez bien Que dans le fond je n'en crois rien Mais cependant je veux encore Écouter ce mot que j'adore. Votre voix aux sons caressants Qui le murmure en frémissant Me berce de sa belle histoire Et malgré moi je veux y croire.
(2) Il est si doux, Mon cher trésor, d'être un peu fou. La vie est parfois trop amère Si l'on ne croit pas aux chimères. Le chagrin est vite apaisé Et se console d'un baiser. Du coeur on guérit la blessure Par un serment qui le rassure.