Disc 1 | ||||||
---|---|---|---|---|---|---|
1. |
| 3:07 | ||||
2. |
| 3:08 | ||||
3. |
| 3:16 | ||||
4. |
| 2:52 | ||||
5. |
| 3:10 | ||||
6. |
| 3:22 | ||||
7. |
| 3:16 | ||||
8. |
| 3:22 | ||||
9. |
| 3:22 | ||||
10. |
| 2:44 | ||||
11. |
| 3:30 | ||||
Dans les montagnes en maraude,
La fille du contrebandier, Sur son p'tit an' portait en fraude Du tabac dans son petit panier. Elle chantait la ritournelle Qu'un gars avait faite pour ell'... Oh! he!, oh! he! Ell' s'app'lait Houpetta, Petta-ci, petta-la Petta-haut, petta-bas Houpetta-la-bella, Houpetta-la-bella, Houpetta, la mia bella. Sur son an' elle allait, Petta-ci, petta-la Petta-haut, petta-bas Houpetta-la-bella, Houpetta-la-bella, De sa voix fraiche elle chantait : coucou ! Au loin l'echo lui repondait : coucou ! Quand le petit ane faisait, hi! han! Au loin l'echo lui repondait : la meme chose, Coucou-ci, coucou-la, Petta-ci, petta-la; L'echo melait tout ca A la belle Houpetta. Ah! ah! ah! .......... Mais un beau jour elle se fit prendre, Par un douanier, un bien beau gars, Qui lui a pris sans plus attendre, Tout ce qu'elle avait comme tabac. En pleurant la contrebandiere Lui dit : "ne me fais pas d'miser's" Oh! he!, oh! he! Je m'appelle Houpetta, Petta-ci, petta-la Petta-haut, petta-bas Houpetta-la-bella, Houpetta-la-bella, Houpetta, la mia bella. Je ne veux pas qu'tu touch's a mon paquet d' tabac, Je t'en prie, je n'veux pas, Ce n'est pas, ce n'est pas Ce n'est pas, ce n'est pas Ce n'est pas ta tabatiere. Mais le douanier lui, il a dit : "je dois" Et tout de suite l'echo repondit : {parle:} Rien parce qu'il n'avait pas crie assez fort Alors finalement elle lui a dit : "ben, le v'la". Mais pour s'moquer d'ell' il repondit : "merci ! j'fum'pas" C'est ainsi qu'Houpetta Sauva tout son tabac Le petit an' trotta, Emmena Houpetta Ah! ah! ah! ... |
||||||
12. |
| 3:14 | ||||
13. |
| 3:00 | ||||
14. |
| 3:02 | ||||
15. |
| 3:17 | ||||
16. |
| 2:33 | ||||
17. |
| 3:21 | ||||
18. |
| 3:00 | ||||
19. |
| 3:11 | ||||
20. |
| 2:50 | ||||
21. |
| 2:55 | ||||
22. |
| 2:48 | ||||
23. |
| 3:24 | ||||
24. |
| 2:59 | ||||
25. |
| 3:18 | ||||
26. |
| 2:46 | ||||
27. |
| 3:10 | ||||
28. |
| 3:11 | ||||
29. |
| 3:23 | ||||
30. |
| 3:06 | ||||
31. |
| 2:54 | ||||
32. |
| 3:02 | ||||
33. |
| 3:12 | ||||
34. |
| 2:56 | ||||
35. |
| 3:18 | ||||
36. |
| 3:01 | ||||
Je suis l'chef d'une joyeuse famille,
Depuis longtemps j'avais fait l'projet D'emmener ma femme, ma s?ur, ma fille Voir la revue du quatorze juillet. Apres avoir casse la croute, En ch?ur nous nous sommes mis en route Les femmes avaient pris le devant, Moi j'donnais le bras a belle-maman. Chacun devait emporter De quoi pouvoir boulotter, D'abord moi je portais les pruneaux, Ma femme portait deux jambonneaux, Ma belle-mere comme fricot, Avait une tete de veau, Ma fille son chocolat, Et ma s?ur deux ?ufs sur le plat. Gais et contents, nous marchions triomphants, En allant a Longchamp, le c?ur a l'aise, Sans hesiter, car nous allions feter, Voir et complimenter l'armee francaise Bientot de Lonchamp on foule la pelouse, Nous commencons par nous installer, Puis, je debouche les douze litres a douze, Et l'on se met a saucissonner. Tout a coup on crie vive la France, Credie, c'est la revue qui commence Je grimpe sur un marronnier en fleur, Et ma femme sur le dos d'un facteur Ma s?ur qu'aime les pompiers Acclame ces fiers troupiers, Ma tendre epouse bat des mains Quand defilent les saint-cyriens, Ma belle-mere pousse des cris, En reluquant les spahis, Moi, je faisais qu'admirer Notre brave general Boulanger. Gais et contents, nous etions triomphants, De nous voir a Longchamp, le c?ur a l'aise, Sans hesiter, nous voulions tous feter, Voir et complimenter l'armee francaise. En route j'invite quelques militaires A venir se rafraichir un brin, Mais, a force de licher des verres, Ma famille avait son petit grain. Je quitte le bras de ma belle-mere, Je prends celui d'une cantiniere, Et le soir, lorsque nous rentrons, Nous sommes tous completement ronds. Ma s?ur qu'etait en train Ramenait un fantassin, Ma fille qu'avait son plumet Sur un cuirassier s'appuyait, Ma femme, sans facon, Embrassait un dragon, Ma belle-mere au petit trot, Galopait au bras d'un turco. Gais et contents, nous allions triomphants En revenant de Longchamp, le c?ur a l'aise, Sans hesiter, nous venions d'acclamer, De voir et de complimenter l'armee francaise |
||||||
37. |
| 2:44 | ||||
38. |
| 2:58 | ||||
39. |
| 3:35 | ||||
40. |
| 2:56 | ||||