Disc 1 | ||||||
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1. |
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J'ai lance des pierres dans le calme plat
Je n'avais rien a faire que des ronds du rivage Et pour la vie entiere je le savais deja sans connaitre ni ton nom ni ton visage Je pouvais compter sur toi, compter sur toi Je marchais dans les flaques en claquant des semelles tu etais mon arc accroche dans le ciel Je pourrais compter sur toi, compter sur toi Alors je glissais comme les cailloux sur l'eau claire lances des bords des rivieres Je tombais comme les cailloux dans les airs Mais certain de mon avenir car j'allais tomber sur toi Sans arreter de me dire que j'allais tomber sur toi Assis pres de l'eau n'ayant rien d'autre a faire j'avais su tres tot que pour la vie entiere sans connaitre ni ton nom ni ton visage Je pouvais compter sur toi, compter sur toi Alors je glissais comme les cailloux sur l'eau claire lances des bords des rivieres Je tombais comme les cailloux dans les airs Mais certain de mon avenir car j'allais tomber sur toi Alors je glissais comme les cailloux sur l'eau claire lances des bords des rivieres Je tombais comme les cailloux dans les airs Mais certain de mon avenir car j'allais tomber sur toi Sans arreter de me dire, que j'allais tomber sur toi, Mais certain de mon avenir car j'allais tomber sur toi Et sans arreter de me dire, que j'allais tomber sur toi, que j'allais tomber sur toi, que j'allais tomber sur toi. |
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2. |
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Hey! les ambulances ont moins de sens
dans la vie a laquelle on pense ivre et libre, longuement parler avec le vent la menace est dans le temps aux erreurs boreales aux humeurs hivernales la, il faudrait bien quelques joncquilles une pensee qui nous ecarquille rentrer un peu dans le champ les amoureux sur le banc la menace est dans le sang et la sante mentale dans le sentimental fatal nous irons dans la foret dessiner des c?urs a la craie mesurer notre chance retrouver nos absences etendus au pied d'un chene sans savoir ou ca nous mene tous ces cailloux qu'on seme et j'ai vu couler dans la riviere une vie moins ordinaire avec la lune a son bord et j'ai decouche pour me deplaire j'ai repeint mon univers sans tenir compte des accords des corps et je reviens demain sur terre pour y regler cette affaire une vie moins ordinaire hey! les antilopes ou la defense quel antidote a nos offenses rouler, vivre lentement le sud encore plus grand la menace est dans les rangs serres, le national fait fureur, les mains sales banal nous, nous voudrions du zele nous envolez paralleles aux tropiques se frotter en travaillant siffloter flottant dans nos quarantaines sans savoir ou ca nous mene Mars ou Winston-Salem et j'ai peche dans le desert une vie moins ordinaire prisonniere de mon sort et j'ai, j'ai survole dans les airs les dedales ou je me perds les pedales dans le decor confort et je reviens demain sur terre pour y regler cette affaire une vie mons ordinaire et j'ai trouve sous la poussiere une vie moins passagere moins ordinaire et j'ai vu couler dans la riviere une vie moins ordinaire moins ordinaire |
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3. |
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J'ai longtemps perdu ta voix
Forcement J'ai tellement reve t'avoir Dans les moments difficiles Le temps deforme les ondes Lentement Pour ne laisser qu'un bourdon De mots inutiles Est-ce ma main qui tremble? Est-ce mon coeur qui bat? Je nous revoie ensemble Quand je suivais tes pas Comme ces photos qui passent De Sinclair et Danny Wilde Assis, debout, couche Sur un instant On finit par se manquer Sur nos parquets flottants Amicalement Est-ce ma main qui tremble? Est-ce mon coeur qui bat? Ma vie me ressemble File a cote de moi Comme ces photos qui passent De Sinclair et Danny Wilde Ces photos de classe De Sinclair et Danny Wilde Est-ce ma main qui tremble? Est-ce mon coeur qui bat? Ma vie me ressemble File a cote de moi Ces photos de classe De Sinclair et Danny Wilde |
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4. |
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Ou est l'erreur, d'ou vient l'orage
Nous humecter sans protection C'est l'aube, c'est l'heure d'atteindre l'age De suspecter les traditions Computer, dis-moi mon niveau A vue d'?il, combien de chevaux Qui est le maitre et qui est le page Avoue, detecteur de mes songes Que j'envoie paitre mon image Mon processeur d'obsessions Computer, dis-moi mon niveau Sans pudeur dis-moi ce que je vaux Je reveille l'ennemi Derriere mes lignes J'attends un signe De comparaison Je nourris l'ennemi Je partage mes ruines Je surveille ma ligne De flottaison Je n'attends qu'un cygne Ou sa chanson Ou est le c?ur, ou est la marge Pour infliger des corrections C'est l'aube, c'est l'heure pour les mirages De respecter le mur du son Computer, vide mon cerveau Et mon serveur de tous mes maux Je reveille l'ennemi Derriere mes lignes J'attends un signe Un compagnon Je nourris l'ennemi Je partage mes ruines Je n'attends qu'un cygne Et sa chanson Je reveille l'ennemi Derriere mes lignes J'attends un signe Une oraison Je nourris l'ennemi Je surveille sa ligne J'attends un signe J'attends, c'est long Que chantent nos cygnes A l'unisson |
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