Disc 1 | ||||||
---|---|---|---|---|---|---|
1. |
| - | ||||
2. |
| - | ||||
Je t'aime aussi par gourmandise
Toi mon joli peche mignon Tu as le gout des friandises Que je volais petit garcon Tendre objet de ma convoitise Tu es comme un fruit defendu Et je cueille par gourmandise Mille baisers sur ton corps nu Je t'aime aussi par gourmandise Et je te devore des yeux Quelque parole que tu dises Coule comme un vin merveilleux Que je deguste et qui me grise Et me trouble d'ame et de corps Et je te prends par gourmandise Et puis j'en redemande encore Je t'aime aussi par gourmandise Tu es mon restaurant chinois Tu es mon canard aux cerises Mon petit pain au chocolat Par toi mon appetit s'aiguise Je te derobe et te savoure Viens, viens contre moi que je te dise Je t'aime aussi par gourmandise Mon amour |
||||||
3. |
| - | ||||
L'amore e' come un giorno
Se ne va', se ne va' L'amore e' come un giorno, Abbagliato dal sole, Tormentato dal vento Ubriaco di pioggia L'amore e' come un giorno Se ne va', se ne va', L'amore e' come un giorno Che sempre ti sorride Che porta la dolcezza Di una lunga carezza L'amore e' come un giorno Se ne va', se ne va'... L'amour c'est comme un jour Ca s'en va, ca s'en va l'amour C'est comme un jour de soleil en ripaille Et de lune en chamaille Et de pluie en bataille L'amour c'est comme un jour Ca s'en va, ca s'en va l'amour C'est comme un jour d'un infini sourire Une infinie tendresse Une infinie caresse L'amour c'est comme un jour Ca s'en va mon amour |
||||||
4. |
| - | ||||
Dans le petit bois de Trousse chemise
Quand la mer est grise et qu'on l'est un peu Dans le petit bois de Trousse chemise On fait des betises souviens-toi nous deux On etait partis pour Trousse chemise Guettes par les vieill's derrier' leurs volets On etait partis la fleur a l'oreille Avec deux bouteill's de vrai muscadet On s'etait baignes a Trousse chemise La plage deserte etait a nous deux On s'etait baignes a la decouverte La mer etait verte, tu l'etais un peu On a dans les bois de Trousse chemise Dejeune sur l'herbe, mais voila soudain Que la, j'ai voulu d'un elan superbe Conjuguer le verbe aimer son prochain. Et j'ai renverse a Trousse chemise Malgre tes prieres a corps defendant Et j'ai renverse le vin de nos verres Ta robe legere et tes dix sept ans Quand on est rentres de Trousse chemise La mer etait grise, tu ne l'etais plus Quand on est rentre la vie t'a reprise T'as fait ta valise t'es jamais r'venue. On coupe le bois a Trousse chemise Il pleut sur la plage des mortes saisons On coupe le bois, le bois de la cage Ou mon cœur trop sage etait en prison. |
||||||
5. |
| - | ||||
6. |
| - | ||||
7. |
| - | ||||
8. |
| - | ||||
9. |
| - | ||||
Viens, donne tes seize ans
Au bonheur qui prend forme Pour que ton corps d'enfant Peu a peu se transforme Viens, n'hesite pas Mets ta main dans ma main Simplement, et donne tes seize ans Viens, donne tes seize ans Aux amours eternelles C'est le plus beau printemps De la vie qui t'appelle Viens, au creux de moi Mets ta joue sur ma joue Tendrement, et donne tes seize ans Un jour, lorsque la vie aura fane nos jours Un jour, nous penserons qu'il fut bien court Le printemps des amours Viens, donne tes seize ans A ta fureur de vivre Le chemin des Amants Est le seul qu'il faut suivre Viens, donne ton cœur Mon amour a l'amour Qui attend, pour prendre tes seize ans Donne tes seize ans Donne tes seize ans |
||||||
10. |
| - | ||||
Par la peur de te perdre,
Et de ne plus te voir, Par ces mondes incenses, Qui grouillent dans ma tete, Par ces nuits sans sommeil, Ou la folie me guette, Quand le doute m'effleure, Et tend mon coeur de noir. J'en deduis que je t'aime, J'en deduis que je t'aime. Par le temps que je prends, Pour ne penser qu'a toi, Par mes regnes de jour, Ou tu regnes en idole, Par ton corps desire, De mon corps qui s'affole, Et l'angoisse a l'idee, Que tu te joues de moi, J'en deduis que je t'aime, J'en deduis que je t'aime. Par, le froid qui m'etreinds, Lorsque je t'appercois, Par mon souffle coupe, Et mon sang qui se glasse, Par la desolation, Qui reduit mon espace, Et le mal, Que souvent tu me fais, Malgre toi. Par la contradiction, De ma tete et mon coeur, Par mes vingt ans perdus, Qu'en toi, je realise, Par tes regards lointains, Qui parfois me suffisent, Et me font esperer, En quelques jours meilleurs, J'en deduis que je t'aime, J'en deduis que je t'aime, Par, l'idee que la fin, Pourrait etre un debut, Par mes joies eventrees, Par ton indifference, Par tous les mots d'amour, Qui restent en souffrnce, Puique de te les dire, Est pour moi defendu. J'endeduis que je t'aime, J'en deduis, Mon amour. |
||||||
11. |
| - | ||||
12. |
| - | ||||
Lui il t'observe
Du coin de l'œil Toi tu t'enerves Dans ton fauteuil Lui te caresse Du fond des yeux Toi tu te laisses Prendre a son jeu Et moi dans mon coin Si je ne dis rien Je remarque toutes choses Et moi dans mon coin Je ronge mon frein En voyant venir la fin Lui il te couve Fievreusement Toi tu l'approuves En souriant Lui il te guette Et je le vois Toi tu regrettes Que je sois la Et moi dans mon coin Si je ne dis rien Je vois bien votre manege Et moi dans mon coin Je cache avec soin Cette angoisse qui m'etreint Lui te regarde Furtivement Toi tu bavardes Trop librement Lui te courtise A travers moi Toi tu te grises Ris aux eclats Et moi dans mon coin Si je ne dis rien J'ai le cœur au bord des larmes Et moi dans mon coin Je bois mon chagrin Car l'amour change de main |
||||||
13. |
| - | ||||
Tu es toute ma vie
Je ne sais pas pourquoi Tu n'es pas tres jolie Mais je t'aime comme ca Tes joies sont enfantines Tes gestes maladroits T'as l'air d'une gamine Mais je t'aime comme ca Tu cries sans raison Tu mens avec aplomb Et me donne des noms Insenses Qui font rire mes amis Et lorsque je te dis Que tout cela un jour doit changer Tu te mets a pleurer Moi pour te consoler Dans mes bras je t'emporte Et blottie contre moi C'est bien toi la plus forte Mais je t'aime comme ca Mes yeux sont pleins de larmes Comment expliquer ca Tout en toi me desarme Mais je t' aime comme ca Tu as des defauts Souvent tu parles trop Et quand je suis par trop excede Je m'ecris ca suffit Mais lorsque tu souris Avec un regard desempare Devant ton air perdu Je me sens tout emu Tu es toute ma vie Je ne sais pas pourquoi Tu n'es pas tres jolie Mais je t'aime comme ca. |
||||||
14. |
| - | ||||
A ma femme by Charles Aznavour
Quand le soc de roc des saisons Sur nos visages et sur nos fronts Aura creuse de lourds sillons De rides Quand nos enfants ayant grandi Auront abandonne le nid Laissant nos coeurs affaiblis Le vide Quand nos gestes seront plus lents Que nous verrons passer le temps Avec un air etrangement Lucide Quand nous n'aurons plus d'avenir Nous remuerons des souvenirs Terre qui ne peut devenir Aride Quand a pas lents et incertains Nous visiterons des jardins Qui comme nos fronts seront peints De givre Quand au prix de milliers d'efforts Nous chercherons sans doute encore A tuer le temps deja mort De vivre Quand nous ne serons desormais Que deux vies liees sans projet Nous ouvrirons avec regret Le livre Que nous aurons au fil des ans Ecrit sur les pages du temps Ou deux mots manqueront pourtant : A suivre Quand enfin la vie parcourue Pret a entrer dans l'inconnu Je te regarderai perdue Et bleme Quand dans ton regard je verrai Que sans notre amour desormais Tes jours ne seront plus jamais Les memes Quand mes yeux ne verront plus rien Que ma main cherchera ta main A l'heure ou parler sera un Probleme Apres avoir accepte Dieu Juste avant de fermer les yeux Encore une fois si je peux Je te dirai comme un adieu : "Je t'aime" |
||||||
15. |
| - | ||||
16. |
| - | ||||
17. |
| - | ||||
Desormais,
On ne nous verra plus ensemble, Desormais, Mon coeur vivra sous les decombres, De ce monde qui nous ressemble, Et que le temps a devaste, Desormais, Ma voix ne dira plus je t'aime, Desormais, Moi qui voulais etre ton ombre, Je serai l'ombre de moi meme, Ma main de ta main separee REFRAIN Jamais plus, Nous ne mordrons au meme fruit, Ne dormirons au meme lit, Ne referons; les memes gestes, Jamais plus, nous connaitrons la meme peur , De voir s'enfuir notre bonheur, Et du reste, Desormais ! Desormais les gens nous verrons l'un sans l'autre, Desormais, Nous changerons nos habitudes, Et ces mots que l'on croyait notres, Tu les diras dans d'autres bras. Desormais, Je garderais ma porte close, Desormais, Enferme dans ma solitude, Je trainerais parmi les choses, Qui parleront toujours de toi. REFRAIN REFRAIN |
||||||
18. |
| - | ||||
Tout le jour tu es loin de moi
Mais lorsque tombe la nuit Que tu viens dormir pres de moi J'oublie toute ma vie Quand se ferment sur notre amour Les portes de ton sommeil En moi que de tourments s'eveillent A te regarder J'ai le coeur qui soupire Je voudrais crier, sangloter ou bien rire A te regarder Je sens comme une angoisse Si tu savais ce que tu tiens de place A te regarder J'ai le coeur qui chavire Et mes pensees Me font mal, me dechirent Si tu devais rever a quelqu'un d'autre Et partager ces joies qui sont les notres A te regarder Quand la peur me domine Pour arracher ce cri de ma poitrine Je veux t'eveiller, te voir devenir bleme Et m'effondrer en te criant: "Je t'aime" |
||||||
19. |
| - | ||||
20. |
| - | ||||
21. |
| - | ||||