Disc 1 | ||||||
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1. |
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2. |
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Des yeux qui font baisser les miens
Un rir'qui perd sur sa bouche Voila le portrait sans retouch De l'homme auquel j'appartiens Quand il me prend dans ses bras il me parle tout bas je vois la vie en rose Il me dit des mots d'amour, Des mots de tous les jours Et ca m'fait quelque chose Il est entre dans mon coeur Une part de bonheur Dont je connais la cause C'est lui pour moi, Moi pour lui, dans la vie Il me l'a dit, l'a jure pour la vie Et des que je l'apercois Alors je sens en moi, Mon coeur qui bat. Des nuit d'amour a plus finit Un grand bonheur qui prend sa place. Des ennuis des chagrins s'effacent Heureux heureux a en mourir Life in pink The eyes which make me lower mine A laugh which dwindles on his mouth Here is the unretouched portrait Of the man to whom I belong When he takes me in his arms He speaks to me quite low I see through rose-coloured glasses He says words of love to me Everyday words And that does something to me He has entered my heart He is a bit of happiness Of which I know the cause It is him for me, me for him in this life He said it to me, swore it for life And as soon as I catch sight of him Then I sense in me My heart which beats Nights of love no longer ending A great happiness which takes its place Troubles, sorrows fade Happy, happy to die from it |
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3. |
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Allez venez! Milord
Vous asseoir à ma table Il fait si froid dehors Ici, c'est confortable Laissez-vous faire, Milord Et prenez bien vos aises Vos peines sur mon coeur Et vos pieds sur une chaise Je vous connais, Milord Vous ne m'avez jamais vue Je ne suis qu'une fille du port Une ombre de la rue... Pourtant, je vous ai frôlé Quand vous passiez hier Vous n'étiez pas peu fier Dame! le ciel vous comblait Votre foulard de soie Flottant sur vos épaules Vous aviez le beau rôle On aurait dit le roi Vous marchiez en vainqueur Au bras d'une demoiselle Mon Dieu! qu'elle était belle J'en ai froid dans le coeur... Allez venez! Milord Vous asseoir à ma table Il fait si froid dehors Ici, c'est confortable Laissez-vous faire, Milord Et prenez bien vos aises Vos peines sur mon coeur Et vos pieds sur une chaise Je vous connais, Milord Vous ne m'avez jamais vue Je ne suis qu'une fille du port Une ombre de la rue... Dire qu'il suffit parfois Qu'il y ait un navire Pour que tout se déchire Quand le navire s'en va Il emmenait avec lui La douce aux yeux si tendres Qui n'a pas su comprendre Qu'elle brisait votre vie L'amour, ça fait pleurer Comme quoi l'existence Ça vous donne toutes les chances Pour les reprendre après... Allez venez! Milord Vous avez l'air d'un môme Laissez-vous faire, Milord Venez dans mon royaume Je soigne les remords Je chante la romance Je chante les milords Qui n'ont pas eu de chance Regardez-moi, Milord Vous ne m'avez jamais vue... Mais vous pleurez, Milord Ça, j' l'aurais jamais cru. +parlé: Eh! bien voyons, Milord Souriez-moi, Milord Mieux que ça, un p'tit effort... Voilà, c'est ça! Allez riez! Milord Allez chantez! Milord Ta da da da... Mais oui, dansez, Milord Ta da da da... Bravo! Milord... Encore, Milord... Ta da da da... |
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4. |
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Peut-être bien qu'ailleurs,
Une femme a le cœur Eperdu de bonheur Comme moi... Et que d'un geste heureux Elle soulève un peu Le rideau de soie bleue, Comme moi... Pour regarder en bas Son amour qui viendra La prendre dans ses bras, Comme moi... Elle attend son amour, Les yeux de son amour, Les bras de son amour, Comme moi... Peut-être bien aussi, Qu'à l'instant, elle vit, Le meilleur de sa vie, Comme moi... Et qu'en fermant les yeux, Elle abandonne un peu Sa main dans ses cheveux, Comme moi... Peut-être qu'à son cœur, Elle épingle une fleur Et puis regarde l'heure, Comme moi... Et pense à son amour, Aux yeux de son amour, Aux bras de son amour, Comme moi... Peut-être bien encore Qu'elle entendra plus fort Son cœur battre et qu'alors, Comme moi... Elle voudra crier En entendant monter Un pas dans l'escalier, Comme moi... Comme moi dans l'instant Où mon cœur en suspens Se retient un moment, Contre toi... Et puis meure, mon amour, Dans tes yeux, mon amour, Dans tes bras mon amour, Mon amour... |
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5. |
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6. |
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Tire les ficelles,
Tire les ficelles. Ton polichinelle Te tendras les bras. Tourne la baguette Et ta marionnette Penchera la tête Et te sourira. Tant que tes doigts lestes Commandent mes gestes, Tu te fous du reste Ça ne compte pas. Tire les ficelles Et Polichinelle, Aussitôt, fera Ce que tu voudras. Tire les ficelles, Tire les ficelles. Ton polichinelle Fera mille tours. Te dira "Je t'aime", Cachera ses peines, Cachera sa haine Sous les mots d'amour. J'irai dans le monde Pour que toi, dans l'ombre, Tu aies le triomphe Auquel tu as droit. Ton polichinelle Fera tant de zèle Que, dès qu'on nous verra, On t'applaudira. Sais-tu seulement Si j'ai un cœur ? Sais-tu seulement Si j'ai une âme ? C'est pas prévu dans ton programme De prestidigitateur. Tire les ficelles, Tire les ficelles De Polichinelle, Mais prends garde à toi Car il est possible Que je me délivre Des fils invisibles Qui m'attachent à toi. En brisant le charme, Je retrouve une âme, Je redeviens femme, Je redeviens moi... Faut que t'en profites. On se lasse vite Et le jour viendra Où ça cassera... Où ça cassera... Où ça cassera... |
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7. |
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On n'a pas dans le cœur de quoi toujours aimer,
Et l'on verse des pleurs en voulant trop aimer. On croit être sincère, on croit avoir trouvé Le seul être sur terr' qu'on ne peut remplacer, On n'a pas dans le cœur de quoi toujours aimer, Et l'on verses des pleurs en voulant trop aimer, Un jour on se réveill', ce n'est plus tout à fait Le rayon de soleil qui nous embellissait. On regrette le temps où l'on pouvait s'aimer, On regrette le temps où le cœur s'emballait, Il ne nous reste plus que quelques souvenirs De pauvres souvenirs qu'on cherche à retenir. Mais moi, j'ai dans le cœur de quoi toujours aimer. J'aurai toujours assez de larmes pour pleurer. J'aurai toujours assez de rir's pour effacer Les tristes souvenirs accrochés au passé. Mais moi, j'ai dans le cœur de quoi toujours aimer, J'aurai toujours assez de larmes pour pleurer, Je veux toujours aimer, je veux toujours souffrir. Si je n'dois plus aimer, mois je préfè' mourir. Mais, moi, j'ai dans le cœurs de quoi toujours aimer, Aimer... Aimer... |
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8. |
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9. |
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Tu me fais tourner la tête
Mon manège à moi, c'est toi Je suis toujours à la fête Quand tu me tiens dans tes bras Je ferais le tour du monde Ça ne tournerait pas plus que ça La terre n'est pas assez ronde Pour m'étourdir autant que toi... Ah! Ce qu'on est bien tous les deux Quand on est ensemble nous deux Quelle vie on a tous les deux Quand on s'aime comme nous deux On pourrait changer de planète Tant que j'ai mon cœur près du tien J'entends les flons-flons de la fête Et la terre n'y est pour rien Ah oui! Parlons-en de la terre Pour qui elle se prend la terre? Ma parole, y a qu'elle sur terre!! Y a qu'elle pour faire tant de mystères! Mais pour nous y a pas d'problèmes Car c'est pour la vie qu'on s'aime Et si y avait pas de vie, même, Nous on s'aimerait quand même Car... Tu me fais tourner la tête Mon manège à moi, c'est toi Je suis toujours à la fête Quand tu me tiens dans tes bras Je ferais le tour du monde Ça ne tournerait pas plus que ça La terre n'est pas assez ronde... Mon manège à moi, c'est toi! |
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10. |
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Mon Dieu ! Mon Dieu ! Mon Dieu !
Laissez-le-moi Encore un peu, Mon amoureux ! Un jour, deux jours, huit jours... Laissez-le-moi Encore un peu A moi... Le temps de s'adorer, De se le dire, Le temps de se fabriquer Des souvenirs. Mon Dieu ! Oh oui...mon Dieu ! Laissez-le-moi Remplir un peu Ma vie... Mon Dieu ! Mon Dieu ! Mon Dieu ! Laissez-le-moi Encore un peu, Mon amoureux. Six mois, trois mois, deux mois... Laissez-le-moi Pour seulement Un mois... Le temps de commencer Ou de finir, Le temps d'illuminer Ou de souffrir, Mon Dieu ! Mon Dieu ! Mon Dieu ! Même si j'ai tort, Laissez-le-moi Un peu... Même si j'ai tort, Laissez-le-moi Encore... |
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11. |
| 3:29 | ||||
Le ciel bleu sur nous peut s'effrondrer
Et la terre peut bien s'ecrouler. Peu m'importe si tu m'aimes. Je me fous du monde entier. Tant que l'amour inondera mes matins, Tant que mon corps fremira sous tes mains, Peu m'importent les grands problemes, Mon amour, puisque tu m'aimesJ'irais jusqu'au bout du monde. Je me ferais teindre en blonde Si tu me le demandais J'irais decrocher la lune. J'irais voler la fortune Si tu me le demandais Je renierais ma patrie. Je renierais mes amis Si tu me le demandais On peut bien rire de moi, Je ferais n'importe quoi Si tu me le demandaisSi un jour, la vie t'arrache a moi, Si tu meurs, que tu sois loin de moi, Peu m'importe, si tu m'aimes Car moi, je mourrai aussi Nous aurons pour nous l'eternite Dans le bleu de toute l'immensite. Dans le ciel, plus de problemes. Mon amour, crois-tu qu'on s'aime?Dieu reunit ceux qui s'aiment ! |
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12. |
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13. |
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14. |
| 3:00 | ||||
15. |
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Non ! Rien de rien
아뇨,아무 것도 Non ! Je ne regrette rien 그 어떤 것도 난 후회하지 않아요 Ni le bien qu`on m`a fait 사람들이 내게 했던 좋은 것이든 Ni le mal tout ça m`est bien égal ! 나쁜 것이든 그 모든 것 난 아무 상관 없어요 Non ! Rien de rien 아니요 , 정말 아무 것도 Non ! Je ne regrette rien 그 어떤 것도 난 후회하지 않아요 C`est payé, balayé, oublié 아픈 경험을 치루고 ,씻겨가고 ,잊혀지고 Je me fous du passé ! 난 과거는 알 바 없어요 Avec mes souvenirs 나의 모든 추억들을 가지고 J`ai allumé le feu 난 불을 지폈고 (모두 태워버렸고) Mes chagrins, mes plaisirs 나의 슬픔과 기쁨들 Je n`ai plus besoin d`eux ! 난 더 이상 그런 것들이 필요하지 않아요 Balayées les amours 내가 사랑했던 이들을 지워버리고 Et tous leurs trémolos 그들의 떨리는 음성들도 Balayés pour toujours 영원히 씻어버렸죠 Je repars à zéro 난 다시 처음부터 새 출발하죠 Non ! Rien de rien 아뇨, 정말 아무 것도 Non ! Je ne regrette rien 어떤 것도 난 후회하지 않죠 Ni le bien, qu`on m`a fait 사람들이 내게 했던 좋은 것이든 Ni le mal, tout ça m`est bien égal ! 나쁜 것이든 모두 다 난 아무 상관 없죠 Non ! Rien de rien 아뇨 , 정말 아무 것도 Non ! Je ne regrette rien 어떤 것도 난 후회하지 않죠 Car ma vie, car mes joies 왜냐하면 나의 삶,나의 기쁨들이 Aujourd`hui, ça commence avec toi ! 오늘날 당신과 함께 시작되니까요. |
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16. |
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17. |
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18. |
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La fille de joie est belle
Au coin de la rue Labas Elle a une clientèle Qui lui remplit son bas Quand son boulot s'achève Elle s'en va à son tour Chercher un peu de rêve Dans un bal du faubourg Son homme est un artiste C'est un drôle de petit gars Un accordéoniste Qui sait jouer la java Elle écoute la java Mais elle ne la danse pas Elle ne regarde même pas la piste Et ses yeux amoureux Suivent le jeu nerveux Et les doigts secs et longs de l'artiste Ça lui rentre dans la peau Par le bas, par le haut Elle a envie de chanter C'est physique Tout son être est tendu Son souffle est suspendu C'est une vraie tordue de la musique La fille de joie est triste Au coin de la rue Labas Son accordéoniste Il est parti soldat Quand y reviendra de la guerre Ils prendront une maison Elle sera la caissière Et lui, sera le patron Que la vie sera belle Ils seront de vrais pachas Et tous les soirs pour elle Il jouera la java Elle écoute la java Qu'elle fredonne tout bas Elle revoit son accordéoniste Et ses yeux amoureux Suivent le jeu nerveux Et les doigts secs et longs de l'artiste Ça lui rentre dans la peau Par le bas, par le haut Elle a envie de chanter C'est physique Tout son être est tendu Son souffle est suspendu C'est une vraie tordue de la musique La fille de joie est seule Au coin de la rue Labas Les filles qui font la gueule Les hommes n'en veulent pas Et tant pis si elle crève Son homme ne reviendra plus Adieux tous les beaux rêves Sa vie, elle est foutue Pourtant ses jambes tristes L'emmènent au boui-boui Où y a un autre artiste Qui joue toute la nuit Elle écoute la java... ... elle entend la java ... elle a fermé les yeux ... et les doigts secs et nerveux ... Ça lui rentre dans la peau Par le bas, par le haut Elle a envie de gueuler C'est physique Alors pour oublier Elle s'est mise à danser, à tourner Au son de la musique... ... ARRÊTEZ ! Arrêtez la musique ! ... |